Inspiration nocturne ...
J'ai appelé Patricia Paquin ce soir. Mais non mais non, je ne suis pas un mec qui connaît les vedettes. C'est une collègue de classe au secondaire. Elle m'a appelé pour la réunion d'anciens. C'est étrange car il y en a eu une cet été, mais personne ou presque n'a daigné s'y présenter.
Tout ça pour dire qu'en cette forte période d'inspiration créatrice, je trouve ce retour en arrière assez cocasse. Car voyez vous, mes enseignants de français de 4e et 5e secondaire n'auraient jamais vu en moi un quelconque talent d'écrivain.
J'avais ni idées ni capacité d'exécution à cette époque. J'ai passé mes cours sur les fesses. J'ai même réussi à échouer mon français 1 au niveau collégial. Pourtant aujourd'hui, j'ai des aspirations face à cette plume qui était à l'époque inexistante.
Que s'est il passé? Et bien, il y a eu la découverte de la musique française et Québécoise. J'ai délaissé pendant quelques temps (que très peu de temps en fait ...) mon influence musicale britannique et j'ai fait la découverte des plumes québécoises comme tous les étudiants du niveau collégial. Si Offenbach, Plume et Harmonium vendent encore des disques, ils peuvent dire un gros merci aux CEGEPS québécois.
Et plus tard, il y a eu un désir de communiquer mon amour de la musique et une opportunité de le faire pour un site web respecté au Québec. Un ami du temps, NL m'a beaucoup appris sur la façon de structurer mes phrases et m'a aidé à styliser mon écriture. Ce qui me manquait lors de mes études au secondaire. Ce style s'est par la suite défini en lisant du matériel québécois.
Je me rappellerai longtemps ce samedi avec miss St-Jacques dans le Renaud Bray à lui faire découvrir tout ces auteurs québécois qui m'enflammaient. Les Matthieu Simard (on va voir si tu vas le googler celui ci mon matthieu :D et oublie moi pas pour le lancement re-:D), PJ Poirier, Guillaume Vigneault, Stéphane Bourguignon, Stéphane Dompierre et dernièrement Nadine Bismuth m'ont tout d'abord découragé (ma prose ayant d’énormes ressemblances avec la leur) pour la suite me motiver à pondre le matériel qui était ancré dans mes tripes et dans mon coeur.
Maintenant ne reste qu’à espérer trouver la force intérieure et la motivation pour écrire, écrire le plus que je peux et me permettre de décortiquer les nombreuses incongruités qui sont logées tout au fond de mon cerveau.
Tout ça pour dire qu'en cette forte période d'inspiration créatrice, je trouve ce retour en arrière assez cocasse. Car voyez vous, mes enseignants de français de 4e et 5e secondaire n'auraient jamais vu en moi un quelconque talent d'écrivain.
J'avais ni idées ni capacité d'exécution à cette époque. J'ai passé mes cours sur les fesses. J'ai même réussi à échouer mon français 1 au niveau collégial. Pourtant aujourd'hui, j'ai des aspirations face à cette plume qui était à l'époque inexistante.
Que s'est il passé? Et bien, il y a eu la découverte de la musique française et Québécoise. J'ai délaissé pendant quelques temps (que très peu de temps en fait ...) mon influence musicale britannique et j'ai fait la découverte des plumes québécoises comme tous les étudiants du niveau collégial. Si Offenbach, Plume et Harmonium vendent encore des disques, ils peuvent dire un gros merci aux CEGEPS québécois.
Et plus tard, il y a eu un désir de communiquer mon amour de la musique et une opportunité de le faire pour un site web respecté au Québec. Un ami du temps, NL m'a beaucoup appris sur la façon de structurer mes phrases et m'a aidé à styliser mon écriture. Ce qui me manquait lors de mes études au secondaire. Ce style s'est par la suite défini en lisant du matériel québécois.
Je me rappellerai longtemps ce samedi avec miss St-Jacques dans le Renaud Bray à lui faire découvrir tout ces auteurs québécois qui m'enflammaient. Les Matthieu Simard (on va voir si tu vas le googler celui ci mon matthieu :D et oublie moi pas pour le lancement re-:D), PJ Poirier, Guillaume Vigneault, Stéphane Bourguignon, Stéphane Dompierre et dernièrement Nadine Bismuth m'ont tout d'abord découragé (ma prose ayant d’énormes ressemblances avec la leur) pour la suite me motiver à pondre le matériel qui était ancré dans mes tripes et dans mon coeur.
Maintenant ne reste qu’à espérer trouver la force intérieure et la motivation pour écrire, écrire le plus que je peux et me permettre de décortiquer les nombreuses incongruités qui sont logées tout au fond de mon cerveau.