Décorticons mon crâne ...

C’est le titre d’un album de QOTSA … mais c’est aussi un titre qui colle parfaitement au spectacle de SOAD d’hier soir.

Ce matin en me réveillant, j’avais les oreilles qui me bourdonnaient de musique, mais pas comme à l’habitude … ce matin, je bourdonnais parce que le rock que j’avais entendu hier m’avait presque défoncé les tympans. (D’ailleurs, amis de Québec, je vous suggère d’apporter vos bouchons)

Mais hier, j’ai vu une puissance musicale. Je devrais plutôt dire que j’ai entendu une puissance musicale et j’ai vu des milliers de personnes réagir à ces décibels. Car coté scénique, SOAD fait figure de parent pauvre si on ose le comparer avec les autres spectacles que j’ai vu dans le temple de la bonne bière cette année. Mais la foule et les musiciens n’ont rien à envier à personne.

De toute ma vie, je n’ai jamais vu une foule connaître autant un groupe et comme je le disais dans un autre post, j’ai vu énormément de spectacle. Même les fans d’Ozzy ne connaissaient pas autant les chansons du groupe. Les fans arborant des « T-Shirts » de groupes de toutes sortes se faisaient aller la tête au rythme du drummer et du bassiste.

Soumis, les fidèles du groupe réagissait au moindre mouvement des chanteurs ou du bassiste.

D’ailleurs, parlons en du bassiste Shavo Odadjian est d’une forme sans précédent. J’ai rarement vu un bassiste avec autant d’énergie et autant d’interaction avec la foule. Généralement les bassistes que je connais (outre Flea peut-être) sont plus réservé, font leur job d’agréable façon mais n’ont pas nécessairement le réflexe d’aller chercher la réaction de la foule. Hier, en début de spectacle Odadjian avait plus de charisme que Serj Tankian. Il n’était pas présent et ce jusqu'à la 6e ou 7e chanson.

Mais, il ne faut pas croire que le spectacle n’a pas décollé rapidement. Le guitariste chanteur Daron Malakian était sublime hier. Il dansait, gueulait, trippait … il est clair qu’il avait envie d’être avec nous et de nous gâter. Dieu qu’il y a de l’énergie dans cette petite personne.

Un deux heures de rock solide, bien monté, bien agencé qui a fini comme il c’est déroulé avec un immense bang.

En effet, après leur dernière chanson, les lumières se sont allumées et le groupe a quitté la salle. Aucun rappel. Bête de même comme dirait l’autre. Mais bon, selon des espions qui avaient déjà vu les prestations du groupe, il est presque coutume de les voir agir ainsi. Ils donnent tout ce qu’ils ont pendant le concert et sont trop vidés pour en donner plus.

A les avoir vu donner leur 150% hier soir, je pense que personne ne devait leur en vouloir.

Petites suggestions pour mes amis de la ville de Québec. Allez y si vous n’avez pas achetés vos billets. À 55$ le billet, il vous faut voir ces gars là sur scène surtout qu’ils seront en ville pour deux jours. La chimie avec la ville sera sans doute fort différente.

Secundo, je n’ai entendu que les aigues lors du spectacle, je vous conseille donc de vous procurer des bouchons et de les apporter pour le spectacle … vous me remercierez.

Tertio, je porte du XL … la chemise noire Dickies ferait un excellent cadeau de noël et de fête … hé hé hé !

C'est quoi ce Karma à la con?

Ceux que j'aime perdent leur emplois les unes après les autres.

Suis-je le prochain?

Destin, je t'en supplie, épargne moi pour cette fois, j'ai vraiment pas la force de ça en ce moment.

merci!

Je l'ai fait avec Mo ! Je l'ai aussi fait avec Do et Evelune. Je l'ai fait parfois en solitaire, parfois en duo, parfois même en groupe.

Parfois, on me fournit, parfois je vais moi même chercher ce dont j'ai besoin.

La dernière fois que ça m'est arrivé, c'est une collègue qui m'a fourni.

Oui, oui, c'est grâce à une collègue si vendredi, j'ai pu le faire avec deux américains. Deux clients de l'Utah qui venaient en ville simplement pour me voir et discuter affaire.

Deux américains qui se sont régalés au restaurant Rosalie sur la rue de la montagne. Trois hommes qui ont monté une facture épouvantable à profiter des biens faits de la vie et qui ont remis un pourboire qui aurait fait plaisir à Piette.

Trois hommes qui se promènent sur Crescent à la recherche de bars et d'endroits sympathiques pour s'amuser.

Un homme parmi les trois qui ne sent pas dans son élément.

Trois hommes qui prennent un taxi et qui s'en vont rapido sur le plateau afin que l'homme se sente plus à l'aise.

Trois super mecs qui finissent à la tulipe.

Deux hommes qui repartent vers leur chambre d'hôtel pour leur vol qui partait à 5h30 du matin alors que l'autre repart chez lui retrouver sa douce.

Vous aurez donc compris que j'adore jouer au guide touristique montréalais. J'adore montrer mes endroits préférés, faire découvrir aux gens que j'aime ou avec ceux avec qui j'ai envie de faire affaire les petits endroits qu'on m'a fait découvrir ou que j'ai découvert suite à des expériences. J'adore parler de montréal et de ses beautés.

J'adore me promener et discuter ... vendredi, j'ai vraiment eu un plaisir fou. Et à en croire la réaction des deux frères, je crois que je n'ai pas été le seul.

Si je me fis à mon instinct, ils seront de retour pour le jazz ou la F1 l'an prochain ou peut-être bien avant avec un panier rempli de bonnes nouvelles.

J'ai utilisé avec succès Skype le jour de ma fête.

La personne qui m'appelait le faisait en direct de cuba. La communication était surprenante d'efficacité.

Gizmo semble très intéressant et est un logiciel gratuit pour l'instant.

Un projet que je vais suivre avec intérêt.

Lecture intéressante ici.

Je publie aujourd'hui un vieux texte que j'avais fait pour showbizz.net.

J'avais envie de vous le partager alors bonne lecture !

Il est rare qu’un groupe décide de faire escale à Montréal dans le cadre d’une importante tournée de promotion. Si ils ont un seul arrêt, ils iront à Toronto, ou New York pour couvrir l’est de l’Amérique et Vancouver ou Los Angeles pour couvrir l’ouest. Mais que la seule escale soit Montréal, c’est un phénomène rare, très rare. Surtout lorsque le groupe à l’ampleur de ColdPlay. Vous ne les connaissez pas? Et si je vous disais que ce sont ceux qui chantaient Yellow. Leur grand succès de l’année 2000 leur a permis de faire le tour du monde. Leur second album A RUSH OF BLOOD TO THE HEAD leur permettra de conquérir la galaxie. Souvent mentionné comme étant le meilleur album que le groupe ne pourra jamais créer, c’est pour la promotion de celui-ci que Showbizz.net a eu la chance de les rencontrer à l’hôtel Inter-continental en plein week-end de la fierté gay. Et je n’étais pas le seul sur place, des dizaines de journalistes de MTV en passant par Musique Plus étaient assis dans le lobby à attendre leurs 15 minutes de gloire.

J’ai donc eu la chance de rencontrer Will Champion, batteur du groupe. Vêtu simplement, le jeune universitaire a répondu candidement à mes questions.

« Je n’ai pas besoin de plus d’argent que j’en ai présentement et je ne comprends pas pourquoi Madonna en aurait besoin de plus » voilà une réponse qui d’entrée de jeu montre le bon caractère de notre interlocuteur lorsqu’on lui demande pourquoi des groupes refusent de venir à Montréal prétextant que les garanties financières accordés ne sont pas assez élevées.

Mais comment est ce de vivre le rêve des jeunes d’être reconnu mondialement et d’avoir du plaisir? « Vous savez, pour moi la vie n’a pas vraiment changé, ce n’est pas comme si j’étais le leader du groupe. La d’où je viens, je réussi à vivre une vie normale (les oui dires lui donne une copine stable) Mais il ne faut pas penser qu’il n’apprécie pas le succès et la gloire. « Je fais parti d’un groupe connu, ma musique est connu et notre nom est connu mais je ne suis pas personnellement connu. »

Mais qui est donc cet inconnu qui a vendu des millions de copies de son premier album? « Ah Will Champion, je crois que c’est le batteur de Coldplay, du moins c ce que l’on m’a dit » et encore? « Je ne sais pas, je ne saurais vous dire, je ne suis qu’un jeune homme chanceux qui a pu rencontrer trois autres gars talentueux qui sont des amis personnels et avec qui je forme un très bon groupe. »

Mis à la porte du groupe à ses débuts, le batteur anglais n’en garde pas de rancune, selon lui le groupe en a même tiré une leçon. « Nous nous sommes redus compte que Cold Play était constitué de quatre membres et que lorsqu’un d’entre nous quitterait le groupe, il n’y aurait plus de NOUS. »

Peut-être est-ce du à cette simplicité que les quatre membres sont si stable et solide dans leur esprit.

Et ce fait explique sûrement pourquoi les rumeurs de séparations du groupe ne sont pas fondées. Et qu’il faut plus se demander si la séparation est due au fait qu’un des membres du quatuor à une femme jalouse qui lui interdit la tournée tellement le groupe semble trouver l’idée de séparation ridicule. « Je pense que c’est Chris qui a dit à une revue Britannique que ce serait probablement notre dernier album. Ce que les gens ont pris comme étant la séparation du groupe. Cependant tout ce que l’on a voulu dire c’est que nous avons tout mis dans cet album. On ne peut qu’espérer que dans 10 mois, nous aurons vécus des choses et aurons eu l’inspiration nécessaire pour faire d’autres chansons qui deviendront peut-être un autre album. »

Depuis qu’ils sont à l’aise avec les entrevues, les quatre membres de Coldplay parlent de leur age, de leur formation et de leur musique. Mais que serait-ils arrivés si les jeunes hommes avaient connus le succès 10 ans plus tard, dans la jeune trentaine? Seraient ils le même groupe?

« Ouais, parce que le son du groupe et le groupe sont bâtis sur qui nous sommes, d’où nous venons et comment nous sommes. Donc si nous étions plus vieux, il est sur que le son ne serait pas le même. Nous ne sommes jamais capable de regarder plus loin que les prochaines semaines car pour nous essayer de penser trop loin dans le futur nous fait perdre du temps précieux. On a été mis sur terre pour une si courte période qu’il faut profiter au maximum de la vie. »

Mais alors, comment font 4 gars qui veulent profiter de chaque moment que la vie leur apporte pour se plier aux joies du métier et de répondre aux mêmes questions sans arrêt?

« Je ne comprends pas vraiment pourquoi les gens veulent venir me parler à moi tu comprends? C’est étrange, car étant une personne très timide, je ne me suis jamais imaginé que les gens voudraient entendre ce que j’ai à dire, donc c’est étrange, mais c’est aussi fantastique de parler à plein de gens partout dans le monde, de toi à un autre, à un autre dans une autre ville, c’est un honneur. C’est un honneur de parler à des gens et qu’ils vous écoutent. Des millions de personnes dans le monde espèreraient avoir notre chance et n’en ont pas la possibilité, alors nous souhaitons saisir l’occasion et promouvoir de bonnes choses et de bonnes valeurs. »

C’est ainsi qu’ils font bon usage de leur pouvoir de parler aux médias en appuyant la campagne pour OXFAM pour la campagne FAIR TRADE, qui est quelque chose en laquelle le groupe croit énormément. Cependant, plusieurs vous diront c’est à chaque personne qu’incombe la façon de l’utiliser.

« Vous faites ce que vous voulez de la reconnaissance du publique. Vous pouvez l’utiliser pour faire de l’argent, pour se rendre encore plus célèbre ou afin de l’utiliser à bon escient en faisant quelque chose d’utile, de pratique, quelque chose qui fera une différence. Et c’est vers cette dernière avenue que nous tendons en participant le plus possible à des œuvres caritatives. C’est quelque chose qui est facile à faire pour nous. »

Mais ce n’est pas tous les artistes qui pensent ainsi, il serait même possible d’affirmer que les membres de Coldplay sont bien seul dans leur navire. Nous n’avons qu’à penser à Britney Spears qui ne mettra jamais les pieds en sol québécois car elle demande trop cher où à des artistes qui refusent d’aller dans certains pays prétextant qu’il n’y a pas d’argent à faire. Cependant, les membres de ColdPlay n’ont pas cette pensée. Will affirmait d’ailleurs que ce n’est pas avec les tournées qu’ils faisaient leur argent, que certains spectacles leur coûtent plus d’argent qu’ils leur en rapportent. Mais alors pourquoi faire une de tel spectacle? « Si on fait des spectacles c’est pour le plaisir de jouer de la musique devant des gens qui apprécie ce que l’on fait. Ce n’est pas pour l’argent, ou une reconnaissance quelconque. » Voilà qui est surprenant dans la société qui est la nôtre.

Mais est-ce que leur éducation est en cause dans cette maturité assez exceptionnelle?
« Nous sommes chanceux de venir d’où nous venons et je suis heureux d’avoir grandi là ou j’ai grandit car c’est ce qui fait de moi maintenant. Notre façon d’agir est une caractéristique d’enfants qui ont une bonne éducation où plutôt qui ont des parents qui s’occupent d’eux et qui les aiment. »

Sommes toutes donc, voici un homme qui fait parti d’un des plus grands groupes de la terre, qui est passionné de Football (notre soccer à nous) et qui a su rester simple et garder sa fraîcheur et sa bonne humeur. Un homme comme tous les hommes, qui parle de la vie, de ses réussites et qui est plus timide lorsque vient le temps de parler de ses échecs.

Bref, il est facile de dire après seulement 15 minutes passé avec Will Champion que lui et ses collègues de Coldplay sont HUMAINS!

Le dernier post a été publié avec Blogger for word …

C’est une petite application franchement sympathique.

Merci messieurs Google :D

Je manque de temps pour m’exprimer ...

Manque de temps pour pouvoir dire tout ce que j’ai à dire, parler de ce que j’ai envie de parler. Pourtant, ce ne sont pas les sujets qui manquent. Que ce soit de parler des événements de la job, de l’amitié, des retrouvailles, des défis, du Champ Car qui est à Montréal en ce moment, de la véritable signification d’une équipe et du travail d’équipe ou du déménagement qui s’en vient à grand pas.

Mais si je décide de prendre un petit peu de temps pour écrire sur mon blog, c’est que je le fais pour parler de ma rencontre du week-end dernier.

Je le fais aussi pour mon désir et mon besoin d’écrire. Car c’est la raison pour laquelle j’ai débuté ce blog et c’est la raison pour laquelle je continue à écrire.

Mais comme je l’avais mentionné, il arrive parfois que des gens tombent sur votre désir d’écrire et de vous exprimer et souffrent de lire ce qui est écrit.

C’est un petit peu ce qui est arrivé à My lorsqu’elle est tombée sur mon blog pour la première fois la semaine dernière. Lorsqu’on fait le retour sur les archives d’un blog, on lit parfois des choses qui ne correspondent pas aux publications récentes. C’est un petit peu le cas avec mon blog. Ce dernier, à vu mes états d’âme sur ma relation avec Isabelle, mes opinions sur des bribes de mes anciennes relations dont MC (pas hammer, l’autre là) des quelques mentions sur My et des débuts de notre relation à moi et Sandra.

C’est My qui c’est mis à lire mon blog dernièrement et qui est restée sous le choc de ce qu’elle lisait.

C’est en partie pour expliquer cet outil de publication de pensées et pour régler certaines échardes qui faisaient encore parti de nos systèmes que nous avons mangé yaourts et bagels en un samedi matin ensoleillé.

C’est des retrouvailles tantôt amusante et tantôt triste qui se sont étalés sur quelques deux heures.

C’est des fous rires comme dans l’ancien temps et des tentatives d’explication de l’inexplicable.

C’est des affirmations incomprises et parfois difficiles à croire comme celle de l’impact d’une virtualité.

C’est un plaisir de retrouver mon amie … mon premier amour … celle qui a fait le petit homme que j’étais. Celle qui m’a appris à agencer les couleurs, qui m’a appris à avoir du goût (ou qui l’a plutôt raffiné), qui m’a fait rire et jouir de la vie. J’ai souvent parlé d’elle ici bas, souvent en la comparant à diverses personnes. C’est étrange ce besoin de comparer chez moi, c’est peut-être pour cacher des malaises, ou un manque d’assurance. Mais je crois plutôt que c’est parce que My fut la première … celle avec qui j’ai passé le plus de temps, celle qui m’a fait découvrir ce qu’était l’amour. Le premier amour devient donc un point de comparaison.

Ce week-end, j’ai compris que je devais cesser de comparer. J’ai aussi revu les points positifs, ceux que le temps fait parfois oublier ou se transforme puisque la mémoire oublie.

J’ai été content de la voir sourire, de revoir son charme et je lui souhaite tout le bonheur du monde.

J’ai omis de la remercier ici car je ne parle pas directement de cette période, mais j’espère que tu auras compris à quel point je te suis reconnaissant My. Si je suis l’homme que je suis aujourd’hui c’est parce que j’ai fait des essais et des erreurs. Tu as parfois subis plus d’erreur que d’autres choses. Je souhaite qu’un jour je sois en mesure de te montrer les essais positifs lors d’une amitié renouvelée.

J’ai franchement envie d’écrire … faudrait que je la fasse cette histoire de 3 et demi !

Je me demande si ce ne serait pas trop difficile et si les personnages ne seraient pas trop caractériels.

C’est un pensez y bien n’est-ce pas ?

P.S. C’est franchement sympathique de trouver une carte d’un copain dans le paquet de l’impact donné dans les uniprix.

J’espère que tu vas faire le club l’an prochain mon Nico !

C'est sa fête aujourd'hui ... et comme le veut la coutume lorsque c’est la fête de quelqu’un, elle fait face à des difficultés ... (Bein quoi, c’est vrai … me semble que c’est rare que quelqu’un dans mon entourage passe une belle et bonne journée de fête à sa fête et ce année après année.

Moi je vois ça comme un nouveau départ ... et je suis certain que tout ira pour le mieux!

Je t'aime chérie ... et je sais que la famille B va le regretter!

Bonne fête et souris ... la vie est franchement belle ! :D

J'adore utiliser google, c'est même une de mes forces! C'est possiblement une des raisons qui font que j'adorerais devenir recherchiste.

Mais bon, d'ici là, je me suis perdu dans mes pensées.

Pourquoi ne pas créer un super héro qui s'intitulerait Captain Google ...

En poussant mon idée un petit peu plus loin et en googlant cette recherche, je suis tombé la dessus ...

une idée de costume d'halloween peut-être :D


P.S. Cet homme travaille chez ... google :p

Méchant recul cette fois-ci. Rien écrit ou presque depuis ma journée grippé. Rien écrire depuis ce désir immense d’écrire. Rien écrire aussi parce que je n’étais pas d’humeur à écrire. Rien écrire car je devais solidifier certaines choses que je risquais définitivement de perdre.

J’ai signé certaines choses cependant. Une chose en fait. Un contrat, mais je ne crois pas que je devrais en parler ici … mon idée n’est pas encore totalement claire et je pourrais me nuire plus qu’autre chose. Disons que ce contrat me permettra de voir si je suis un bon fit …

C’est important dans la société dans laquelle on vit de trouver le bon fit. On cherche le meilleur fit dans notre vie amoureuse, dans notre vie professionnel et pour nos enfants.

On cherche le meilleur fit possible comme double parental, comme partenaire d’affaire, comme choix de carrière. Cette recherche va souvent plus loin, puisqu’on cherche le meilleur fit avec nos gadgets de la vie de tous les jours.

Nous sommes quelque peu égoïste en tant qu’individu et que société lorsqu’on y pense bien. Je généralise, je le sais, mais cette recherche du fit parfait cause parfois bien des maux de têtes.

Merci papi R pour les bons mots … et je vais penser à tout ça ! J’ai trouvé le fit amoureux … j’ai trouvé dans bien des cas les fits amicaux, reste à me demander si je possède tous les fits dont j’ai besoin.

Il y a des gens qui savent quoi dire pour venir vous chercher ...

il y a des gens qui lorsqu'ils prennent le temps d'écrire vous rappellent pourquoi vous leur fourguiez toutes vos critiques de films dans un passé pas si lointain.

Il y a des gens auxquels on ne donne pas assez de valeurs parfois!

À ces gens, je demande pardon!

Samedi soir, soirée spéciale dans mon ancienne chaumière. La soeur du mystérieux coloc a en effet eu la brillante idée d'organiser une levée de fond pour permettre au dit coloc de rencontrer un de ses idoles du monde de la lutte Lance Storm. Ses deux jours de cours étaient associés à une invitation au gala de la NCW de samedi dernier. Et, voulant chasser les mauvaises pensées de la veille, j’ai invité Sandra à se joindre à moi et nous sommes aller dans une salle paroissiale voir des gars se taper sur la gueule.

A son arrivée sur le ring, le MC affichait l’un de ses plus beaux sourires. Il fallait le voir entrer dans l'arène, fier comme un paon et heureux d'être là. La NCW est une des fédérations de lutte québécoise les plus sérieuse. D'y être associé donne du prestige aux artistes qui espèrent grandir dans cette industrie. Et d'avoir le mystérieux coloc dans cette fédération est, à mon avis, une "win win" situation pour les deux parties. Mais bon, je ne suis pas le seul à être d’accord avec ceci, si on se fit à cette critique dans un des forums de lutte québécoise : « Nice surprise appearance by Le mystérieux coloc to challenge Nick Blade. I strongly hope that MC was not a one night only shot. Blade and him had a good match and a future feud between those two could be great. »

Son combat n'a pas été de longue durée (on ne donne quand même pas un championnat à un lutteur qui arrive dans une association pour la première fois) mais nous a procuré de profond frissons. Son texte de promo était parfait. On le sentait totalement en confiance lors de sa présence au micro et sur le ring. Il kickait des culs!

Associé avec le quatuor qui était venu l'encourager, (C'était beau de me voir gueuler pour encourager la « shawinitude ») il a probablement donné la meilleure performance de la soirée. Des gens qui ne le connaissaient même pas, l'ont chaleureusement applaudis lorsqu'il a grimpé dans les câbles à la fin du match.

Ce soir, c'est la fin de son week-end de rêve. Ce soir, je l'ai invité pour l'enregistrement de RAW de la WWE. Malheureusement, je ne suis pas top shape ... mais bon, c'est toujours le cas quand la WWE arrête par Montréal. Je m'y attendais.

Ce soir, donc, je vais voir la WWE pour la première fois avec MC.

Je fais mon « coming out » de lutte. Oui, j'écoute la lutte depuis ma tendre enfance. J’ai toujours préféré ça à Melrose Place ou à tous ces shows qui sont diffusés le lundi soir à la télé américaine. Tant qu’à lire un script, j’aime quand il est bien écrit. Mais bon, mon amour remonte à plus loin que ça. Mon père décrivait des matchs dans sa jeunesse. Il m’a donc souvent parlé de cet univers et de ce milieu. J’ai, par la suite, suivi la WWF (devenu depuis la WWE), la WCW appartenant à Ted Turner et un petit peu la ECW.

J'avais perdu l'intérêt rendu au cégep et à l'université jusqu'a ce que je rencontre le MC. Sa passion et sa rage pour le sport m’ont redonné le goût de l'écouter et de le suivre. J'ai donc été passionné par des personnages et des gimmicks plus folles et intéressantes les unes que les autres.

Ce soir, je reprends donc le flambeau. Ce soir, je vais redevenir le petit cul de 8 ans en voyant entrer Hulk Hogan sur le ring.

Ce soir, je vais voir les vedettes de cet univers donner une représentation à couper le souffle. Ce soir, je vais, pour la première fois, avoir la chance de chanter à HBK : « You Screwed Bret »!

Ce soir, je vais m'amuser ... tenter d'oublier mon début de grippe et profiter de ce moment avec le mystérieux coloc. Cet être unique avec lequel j'aime tant passer du temps.

Petite dernière, selon le MC, je serais drôle en lutteur. Je le cite : « tu serais drôle en lutteur!!! Tu pourrais partir la nBo... New Blog Order... un groupe de méchant (dans le sens des bons et des méchants à la lutte) de la blogosphère... »

Qui me suit ? Qui embarque avec moi? LOL

Ma cousine se lance dans le web. (J'entends déjà certaines personnes qui me connaissent me dire que c'est pas ma cousine. Je sais, je sais, sa mère est la cousine de ma mère ce qui en fait ma quoi ... petite petite cousine? m'enfin .. c'est ma cousine bon!)

Artiste aux multiples talents Isabelle Guimond s'expose en ligne ... et à la casa del popolo

Je vous suggère d'assister à son vernissage!

Vous m'en donnerez des nouvelles.

En lisant ceci, ma gorge s'est nouée.

C'était une petite journée tranquille jusqu'à maintenant, je me disais bien que je n'allais pas sévir ici bas.

Le wordcount du logiciel word dit qu'il n'y a pourtant que 97 mots et 546 caractères. C'est rien ça 97 mots.

Et bien c'est les 97 mots qui m'ont le plus bouleversé depuis plusieurs semaines. Aucune crise, aucun être humain, et surtout aucun troll ne m'a autant bouleversé que ces 97 petits mots.

J'écris à chaud, je ne prends pas le temps de réfléchir. Le ratio était de 3 contre un en faveur des agressés. Dans mon cas, il était de 3 contre 2 en faveur des agresseurs.

Dans un peu plus d'un mois (25 septembre), ça va faire 3 ans. C'est long 3 ans quand on y pense, pourtant, présentement je le ressens comme si c'était hier.

Je dois aller prendre le métro et je ne sais pas comment je vais faire.

Je suis en mode panique ... c'est fou!

Calme toi ... ce ne t'ai pas arrivé à toi et tu as toutes les chances du monde que ça ne t'arrive plus.

Je ne parle plus souvent de mon agression. Car quand j'en parle, trop de choses se bousculent. Ce que je sais c'est que mon récit que j'avais commencé en même temps que le blog n'a pas avancé. Je suis incapable de m'y mettre.

Il était 1 heure du matin dans leur cas. C'est tard 1 heure du matin, beaucoup plus tard que 5h30 le soir, tout de suite après le boulot.

Ouff que ça tourne! Calmons nous ... tout ira bien ... shiiiiiiiiiiiiiiit que j'aime pas ça!

Je ne suis pas ces 3 victimes et je ne suis pas une victime dans la vie. Je ne joue nullement pas à la victime non plus.

J'ai été agressé, une agression à l'arme blanche par 3 noirs.

En ce moment, je revois toute la scène ... en ce moment, je vois mes plaies, le sang et le sang froid que j'ai eu. En ce moment, j'espère que les trois nouvelles victimes vont bien.

En ce moment, je combats pour ne pas perdre le contrôle de ma tête ...

En ce moment, je décalisse ... j'étouffe ici ...

Faudrait commencer par féliciter Me pour son texte d'aujourd'hui. Une thèse de maitrise, un texte bien élaboré qu'elle a pris le temps de documenter. Alors, encore une fois bravo.

Pour ce qui est de mes commentaires, et bien je crois en avoir parlé abondemment ici et ne pas devoir y revenir.

Pour ce qui est de mon blog d'aujourd'hui, il n'y aura qu'une seule personne qui pourra le lire. Les joies du choix :D

Hier, je changeais la façon dont les commentaires étaient faits sur mon blog. Ainsi, je me disais que le "troll" qui sévit ici depuis quelques temps dans un mauvais français allait cesser de passer des commentaires poches et franchement déplaisant.

Malheureusement, c'était sans compter sur le temps que cet individu avait à perdre car il c'est créé un profil.

Cette situation m'a même fait accuser une mauvaise personne et je m'en excuse encore auprès de celle-ci car je n'ai aucune idée de qui est ce "troll" et franchement, je m'en fou un peu. Pour l'instant, tout ce que je sais c'est que cette personne est incapable d'assumer ses écrits et à du temps à perdre. Voyez vous, les premiers commentaires m'ont touchés. M'ont fait mal. Mais, j'ai compris que cette personne ne me connaissait pas. Ou que si elle me jugeait à partir de mes écrits ici ... ou même à partir de ma vie d'avant Sandra, elle ne me connaissait le Carl que je suis devenu dernièrement.

C'est Pitounsky qui, hier, me disait à quel point j'avais changé, à quel point je n'étais plus le même homme. Je dis souvent que ma vie au contact de Sandra est devenue plus jolie, plus plaisante et moins stressante et c'est vrai.

Mais bon, revenons à nos moutons. Les commentaires et les trolls. Sylvain en parle dans son podcast du mois d'août. On dirait que c'est inévitable. Je pourrais cependant les bloquer complètement et permettre uniquement de m'écrire par courriel. C'est ce qu'a fait Fred et il me disait que c'est ce qui lui avait le plus aidé à continuer de bloguer. Nous verrons ce que je déciderai.

Un fan, j'ai un fan ou une personne qui ne m'apprécie pas. Et bien à cette personne, je lui souhaite une bonne vie ... et je connais des bons psys!

http://www.collegehumor.com/movies/248319/

Ça c'est mon genre d'humour ...

C'est dark, bein dark ... comme les jokes de bébé morts à Fred. J'aime l'humour "dans ta face" tout en critiquant la société.

J'adore ...

Un nouveau groupe américain "The Whitest Kids U know!"

Je viens de faire une modification au système de commentaires.

Il faut désormais être enregistré pour pouvoir poster son commentaire ici bas. Les commentaires anonymes ne sont donc plus possible. Mais mystérieux coloc ... dis toi que tu peux t'enregistré sans avoir de blogue :p

lol

Celui ou celle qui s'amuse à me traiter de plaignard et à m'offrir mon propre téléthon pourra continuer à le faire mais en assumant son identité. (ou en s'en falsifiant une, je sais, je sais ... mais faudrait avoir du temps à perdre pour falsifier son identité et venir me descendre)

merci

Et non, je n'ai pas envie de parler de Mazda (quoi qu'ils avaient érigés un kiosque à l'entrée)

J'ai envie de parler du GP3R ... l'institution que mon paternel et d'autres personnes ont fondés il y a près de 40 ans.

Plusieurs grands noms sont passés par le circuit trifluvien. Des gens qui courent aujourd'hui en F1 (Jacques Villeneuve a commencé sa carrière nord américaine là) en Cart (Alexandre Tagliani a souvent donné un excellent spectacle) ou en Indy (Patrick Carpentier à toujours donné le meilleur show en ville). Les amateurs savent reconnaître Trois-Rivières comme étant une destination prisée pour la course automobile.

Cette dernière affirmation était vraie avant la fin des commandites de tabac. Ayant de l'argent, Trois-Rivières arrivait à attirer de grosses séries dans la ville. Les équipes aimaient venir se frotté au circuit de ville, les pilotes aiment la foule enthousiaste et les murs qui viennent vraiment trop rapidement. (Si le mur du Québec à Montréal ne pardonne pas, il faudrait se demander ce que sont les murs trifluviens) Les femmes étaient belles, les amateurs étaient nombreux et plaisant. Tout le monde jasait avec tout le monde. Devant l'inconnu, nous avions une ressemblance. La passion des voitures et de la course.

J'ai commencé ce petit manège à 3 ans. C'est donc dire que j'ai été presque 15 ans (il y a eu un arrêt du grand prix pendant quelques années et une chicane avec mon paternel pendant les autres) avec la même routine. Le premier week end d'août, il ne faut jamais me chercher. Je suis au grand prix. Même à la mort de mon meilleur ami, j'y étais. J'ai d'ailleurs vécu des moments magnifiques lorsque j'ai pu couvrir l'événement pour le compte de webquebec jadis ... ( merci wayback machine.)

D'avoir accès à l'arrière, de pouvoir frayer avec les journalistes et les pilotes étaient une expérience qui me stimulait au plus haut point. C'est d'ailleurs cet exercice qui m'a donné le goût et la confiance pour commencer à écrire. D'ailleurs, le texte sur Rénald Hamelin m'a valu des éloges de bien des gens. Le principal intéressé en parlait encore à mes parents ce week end. Pourtant quand je le relis et je me relis, je ne vois pas vraiment du génie dans cet écrit. En fait, je ne vois pas de génie dans aucun de mes écrits mais ça c'est une autre histoire.

Ce week end donc, je revenais sur les terres du GP3R ... j'avais envie d'amener les Zhoms voir des bolides, sentir l'odeur du fuel et des pneus. Trop jeune me diront certains ... Pas du tout. J'avais l'age médian entre les deux Zhoms lorsque j'ai commencé à fréquenter cet univers. J'ai d'ailleurs des photos de moi assis près de la piste à regarder les pilotes y aller de leurs plus beaux exploits. J'en rêvais, je voulais montrer la beauté du circuit, l'ambiance et le plaisir à Sandra et aux Zhoms.

J'ai malheureusement versé une larme. Car voyez vous, depuis la relance (à la fin de la commandite du tabac et des compensations remises par le gouvernement, l'organisation de Léon Méthot décida de fermer les livres. C'est Jacques Deshaies ainsi qu'une poignée de passionnés qui ont relancé l'événement.) rien n'était plus pareil. Les grandes séries de prestige ont quittés le navire faute de fonds et de sérieux de l'organisation. Les camions et les équipements imposants ont disparus de l'enceinte et les "racing popounes" attendent le Grand Prix Cart de Montréal pour refaire surface. C'est donc dans ces conditions que les Zhoms et Sandra ont vécus leur premier Grand Prix en ma compagnie. Cette légère déception n'a fait que renforcer mon désir de faire connaître une ambiance de la sorte à ma douce et à ses enfants. Refaire les voyages que j'ai faits avec mes parents à Pocono et Watkins Glenn. Revoir les différents circuits nord américains et vivre la passion des courses. Aller voir les différents univers, Cart, Nascar, Indy et F1 ... Voir les différences dans les bolides, le style de conduite mais aussi de voir les différences de publique des différentes séries.

Et je crois bien que nous retenterons l'expérience dans la Cité de Laviolette. L'an prochain, les Zhoms seront plus grands et nous serons mieux équipés. L'an prochain, j'irai présenter les Zhoms aux pilotes que je connais et je pourrai les assoires dans les bolides et prendre des photos.

L'an prochain, trois générations seront en même temps sur le circuit : Les Zhoms, mon père et moi.

Sujet bonbon, sujet tabou?

Les exs sont au coeur de nos vies. Sont au coeur de la mienne en tout cas (quoi que dernièrement c'est très tranquille).

Un article "psychopop bon bon" de nos amis de Canoë.

Qu'est-ce que j'en pense? ... Je sais pas ... je vais y réfléchir.

C'est tout ce qui restait hier ... Le Centre Bell était bondé. Bondé de jolies filles et de mecs tout aussi « cute ».

Ne restait que ces quatre petites places, que personne n’a osé venir squatté. Quatre sièges qui ont pu assister à une performance extraordinaire, hors du commun même.

La dernière fois que le groupe avait foulé le sol montréalais, c'était le 25 février 2003. Cette performance étant gravé dans ma mémoire, je m'en rappelais encore. Il y a des moments, ou des spectacles qui restent gravés dans votre matière grise sans qu'on aille à se forcer.

Outre mon accident, peu de choses ont réussi à s'y graver. Mon entrevue avec Will Champion, le batteur de Coldplay, et leur spectacle montréalais en 2003 y sont parvenus.

Facile de déclarer moins de 24 heures après la prestation de 2005 que ce spectacle fera aussi parti de mes souvenirs. Facile parce qu'encore une fois, les quatre universitaires britanniques ont prouvé leur suprématie.

Facile quand les pièces provenant des deux premiers albums du groupe paraissent encore plus matures et réussi que sur la version studio. D'ailleurs, ces pièces ont reçu un meilleur accueil que les pièces de X & Y ... (m'enfin)

Facile aussi de faire cette généralisation lorsque l'on assiste à un show d'éclairage aussi intéressant et poussé. Fallait être là pour pouvoir constater qu'aucun jeu de lumière n'est revenu dans tout le spectacle. La force de création était hallucinante. L'ours qui se promenait dans la foule valait le déplacement à lui seul.

L'écran géant utilisé par le groupe a aussi servi à nous mettre dans l'ambiance et à rajouter au mysticisme du spectacle. Je n'avais jamais vu un groupe assez généreux pour avertir les fans de préparer leur caméra et d'allumer l'éclairage de façon à ce que les flashs ne soient pas nécessaires. L'utilisation de techniques d’animations déjà rodées par des bands comme U2 a aussi aidé à nous en mettre plein la vue.

Mais, de toutes les folies techniques, ce fut celle non prévu qui nous a le plus touché. Les troubles techniques sur la pièce Yellow nous ont donné des frissons. La façon qu'a utilisé Martin pour s'en sortir était unique et donne au spectacle un aura.

Parlons en de Chris Martin. Le végétarien le plus sexy de la planète était d'une forme spectaculaire hier. Lui qui fut beaucoup plus tranquille lors de leur dernière prestation en sol montréalais, il est devenu une véritable bête de scène. Il prenait toute la scène (il est même sorti l'instant d'une chanson, son gilet des Canadiens sur le dos) et était déchaîné. Il a pris le temps de s'adresser à son public en français et surtout de saluer les gens d'Arcade Fire, présent dans l'assistance. Il a aussi eu la brillante idée de nous servir 3 pièces acoustiques qui ont donné à l'assistance la chair de poule.

De Garou, à Nicola Ciccone, en passant par Geneviève Borne, Herby Moreau, Patrick Masbourian, Ima, Vincent Vallière, Martin Petit et Pierre Landry (Excellente ta critique à Salut Bonjour mon Pierre), tout le gratin montréalais voulait assister à la prestation du quatuor britannique. Coldplay était hier, "The talk of the town!"

Et ces gens avaient raison. De la générosité, du talent, une prestation simple, mais hallucinante. Je cherche encore mes mots pour exprimer à quel point le spectacle d’hier était merveilleux.

Prochaine représentation SOAD à la fin du mois.

Avant que je ne l’oublie, un merci tout spécial à ma coloc, mon siège était le meilleur que j’ai eu dans ma vie, Merci C !

Bref, une soirée inoubliable, des gaminets trop petits pour l'homme que je suis, un petit souper au St-Hubert qui n’a pas été mémorable et du "quality time" passé en compagnie de mon amoureuse et des amis! Que demander de plus.

Des photos du spectacle de Toronto sont disponibles ici.
Et des photos de la prestation montréalaise.

Voici le setlist montréalais :

Square One
Politik
Yellow
God Put a Smile Upon Your Face
Speed of Sound
Low
The Hardest Part
Everything's Not Lost
White Shadows
The Scientist
Don't Panic
'Til Kingdom Come
Clocks
Talk
----
Swallowed in the Sea
In My Place
Fix You

P.S. Ma vie de critique musical me manque … beaucoup.

P.P.S. : Je viens de me relire ... on dirait un jeune homme qui assistait à son premier spectacle alors que j'ai un plus grand baggage que ça. Mais comme on dit en anglais : "It was THAT good !!!!"

P.P.P.S. : La critique de Fred est en ligne aussi.

Ca y est, même mon « laptop » s'y mets ...

Ma batterie vient de rendre l'âme ... coquine qu'elle est ... Mon ordinateur à donc perdu son coeur.

J'aurai donc d'autres raisons de me tenir éloigné de mon ordinateur pour les prochains jours. De toute façon, ce soir c'est Coldplay ... alors je n'ai pas le temps de gosser la dessus.

*note pour les « Geeks »* je sais que mon ordi fonctionne pareil sans la batterie ... mais j'aime savoir que j'ai une raison de plus ... hé hé hé

Fred, help !!! ... c'est où ta place pas cher????

J'ai décidé d'écrire moins, de toute façon, je ne passe presque plus de temps devant l'ordi. Je ne ressens plus le besoin que j'avais d'écrire à tous les jours. On m'avait demandé combien de temps ça allait durer et je pensais bien que j'écrirais toujours autant et souvent qu'à mes débuts, mais j'avais tord, car je sais admettre quand j'ai tord.

De passer moins de temps devant ma machine me fais sourire, me rend heureux. Je passe déjà assez de temps au boulot, je ne vois pas pourquoi j'en passerais plus rendu à la maison.

Bien sur, je délaisse plusieurs amis en n'allant plus aussi souvent sur MSN ou en répondant de façon moins fréquente à mes courriels. Mais, je sais qu'ils savent que je suis là et une fois de temps en temps, je passe faire un tour afin de les saluer.

J'ai pris le temps de donner de l'attention à des choses qui avaient été écrites la semaine dernière et je n'aurais pas du. Je me sens dépeint comme un monstre et j'ai peur que ce monstre soit encore présent en moi et nuise ou même détruise la vie de ceux que j'aime. De ne pas avoir le temps de m'y attarder la semaine dernière a fait passé la pilule plus facilement, ça ne peut que renforcer mon idée de passer moins de temps devant l'ordi.

Mais bon, d'en parler c'est de lui accorder de l'importance alors restons en là.

J'ai aussi un tout petit peu de difficulté avec le recul que je me donne par rapport à ma vie. Mes textes ici sont teintés de distance et de grossissement. Lorsque je dis l'expression suivante : "toute la blogsphère québécoise", je ne fais qu'essayer de mettre une certaine distance entre mes textes et ma vie, me donner le recul nécessaire pour ne pas montrer ma vulnérabilité plus que je ne la montre en ce moment. C'est aussi pour cette raison que je tente de dire les choses de façon claire et froide. C'est ma forme de protection.

Aujourd'hui, j'avais envie de parler de Montréal 2016, j'avais envie de sortir de moi, du placotage sur Carl, de pouvoir parler de choses qui me passionnent, de partager mes opinions. Je n'y suis pas arrivé puisque vous lisez un texte beaucoup plus prenant et beaucoup plus sombre. Je vais donc me lancer des défis et tenter de changer la tangente de mes écrits.

Revenir sur les spectacles que je vois, ou j'ai vu ... sur ce que j'écoute, sur l'actualité. Faire de la recherche et un travail de rédaction plus poussé. Ou, je ne ferai rien ... j'abandonnerai ou je laisserai les choses tel qu'elles sont.

C'est ce que nous verrons!

They had what they wanted ... they won, I lost ... ... ... ... ... for now!

Plein d’idée, plein de temps, tout se bouscule dans mon esprit. Difficile d’être concis et manque de temps pour le faire aussi. On se lance donc dans un cafouillis d’idée qui peut avoir l’air d’une réflexion sans queue ni tête. C’est malheureusement un reflet de mon week end loin des projecteurs. Un week end bourré d’émotions et de plaisir. Un week end qui m’a fait du bien. Il était temps.


Ce midi, j'ai reçu un courriel qui me demandait ce qui se passait. Après mon explication, on m'a suggéré de prendre mon temps.

C'est ce que j'ai fait ce week end. J'ai pris le temps! Le temps de lire ... de m'instruire (saviez vous que le depo-provera pourrait être néfaste à la santé des femmes ... pas moi en tout cas :p) ... le temps de connaître les zhoms et finalement, pris le temps de discuter et de prendre des décisions.

Je quitterai donc mon quartier afin d'aller plus à l'est et ce dès septembre.

Je m'en vais vivre avec ma douce ... cette décision s'est concrétisée avec des achats éhontés dans des grandes surfaces de la rive sud de Montréal afin d'améliorer quelque peu notre destin :D.

J'ai aussi pris le temps de m'éloigner et de relaxer. Je ne suis pas le premier à le dire. La blogsphère québécoise est remplie de jalousie et de conflits sans queue ni tête. Et ce week end n'a pas fait exception. Vivement la fin de toutes ces hostilités.

J'ai pris le temps de danser ... d'ailleurs, je me suis fait aller sur les planches de la tulipe vendredi et oh surprise samedi (merci chérie pour l'idée ... c'était génial).

Je me sentais tel un roi. Gâté à souhait et en présence de celle que j'aime, il m'était difficile de surpasser tout ça. Pourtant, la fin de ma soirée de samedi a réussi à surpassé vendredi. Combattre la fatigue avec un désir de danser, de se dépasser et de repousser la limite. Quel plaisir pour l'épicurien que je suis.

Bien sur, il y eu quelques ombres au tableau. (C'est chiant pas trouver ce que tu cherches quand tu as envie de dépenser :p) Mais de tous ces moments plus moches, le plus difficile fut le petit moment de ce matin. Le plus vieux des zhoms à été victime d'un commentaire désobligeant à la garderie. ("Ah non pas lui, on l'aime pas, on ne jouera pas avec lui" de dire deux gamines plus vieilles que lui.) J'étais à ses cotés lorsque le commentaire a été dit. Et malgré que je ne sois pas un père de famille, j'ai eu le coeur gros. C'est que voyez vous, je n'ai jamais eu la chance de jouir d'une popularité extrême.

J'ai longtemps cherché à l'avoir pour finir par comprendre que ça ne donnait rien. J'ai d'ailleurs souvent eu des discussions à ce sujet avec des gens qui disaient eux avoir trop souffert de la popularité. Sans vouloir revenir sur le sujet, je ne crois pas qu'il soit possible d'être trop populaire ou d'en souffrir. M'enfin!

Alors de voir cet enfant rejeté de la sorte m'a re-brassé plein de souvenirs et de pensées négatives. Sandra y est même allé d'un : "ce sera pas ma semaine cette semaine". Mais à bien y penser, je ne peux pas laisser ce léger détail ralentir la cadence que je me suis donné. Le temps que j'ai pris m'a permis d'augmenter ma cadence, de travailler sur les détails qui ne faisaient pas mon affaire et de continuer dans cette voie de bonheur.

Je suis tellement loin d'ou j'étais cet hiver. C'est fou. C'est grâce à certaines personnes et je ne les en remercierai jamais assez. Surtout que certains d'entre eux y sont allé d'une autre grande générosité ce week end, alors merci les n'amis :D