Décorticons mon crâne ...

je prends quelques temps pour me reposer ... je prends deux jours de vacances avec les Zhoms ...

alors ce sera tranquille ici.

Bonne fête cle charles ... je pense à toi en ce moment!

Depuis hier après midi, je me sens comme si j'allais aller en enfer. Pourtant, je n'ai rien détruit, je n'ai rien fait de mal et surtout, je n'ai pas fait de peine à personne.

Je vois des messages là où il n'y en a sûrement pas. Je ressasse les mauvais coups que j'ai faits depuis quelques temps au lieu de voir les bons coups que j'ai fait dernièrement, je me questionne et me fatigue pour pratiquement rien.

Fallait donc trouver un moyen de voir si j'allais aller en enfer où pas ...

Et, j'ai trouver ... je vais aller brûler en enfer ... mais selon le jeu, j'ai de l'espoir. Alors, je vais me sortir de ce petit marasme, me lever et recommencer à sourire.

bein oui encore ... :p

j'aime ça lui faire des hommages ... alors, voici ... pour toi chérie.

http://www.thesimpsonsquotes.com/

Pour toi, juste pour toi ... des quotes d'Homer, ton préféré. LOL!!!!

Dis, j'ai le droit de le sortir de la bibliothèque?

Alors que JL se lance dans les félicitations et les remerciements ... moi je me lance dans les joyeux anniversaire ...

Voyez vous, c'est l'anniversaire de mon petit grand frère ... avant que Mo me refasse un "WHAT".

Mon frère est plus grand mais plus jeune que moi. Nous n'avons pas toujours eu une relation très fraternelle (pardonnez moi l'expression), le nombre de marques, de poques, de bleues qu'il a et le nombre de mornifles que nous nous sommes administrés au fil des années ne se calculent plus.

Depuis mon accident cependant, les choses semblent avoir changé. Les égos sont moins gros, le pardon s'est administré lentement mais sûrement et on arrive à avoir une relation plus soutenue ...

C'est presque le miracle ... c'est encore "shaky" mais c'est miraculeux ... et aujourd'hui, en ces temps merveilleux, c'est son anniversaire … Alors que demander de mieux.

Le trafic de poil.ca, me permettra donc de diffuser à la terre entière ce joyeux anniversaire. Alors, petit frère, bon 24e ... et pour une fois, je fais un spécial ... je mets nos faces ici bas! C'est bien parce que je t'aime!

Bonne fête encore!!!!! On avait l'air heureux hein ?... l'engueulade de l'apres midi parraît presque pas :p ... lol!

P.S. Comme le dit ma douce dans les commentaires ... tu partages ta fête avec Êve-Marie Lortie ... chanceux .... maman aurait peut-être du attendre une journée de plus :p

P.P.S. C'est aussi l'anniversaire de mariage de mes parents ... mais bon ... faudrait pas que ca fasse de l'ombre à miss Lortie et monsieur Charest :p lol!

Ce week end a eu tout un impact. Que ce soit le voyagement de vendredi, et les conversations qui m'ont fait énormément réfléchir sur ma propre personnalité ou encore, la piscine et la rencontre de samedi, ce Week-end a aidé à continuer à me faire comprendre des choses de la vie. C'est drôle de voir comment les choses se placent sans qu'on s'en rende compte.

C'est drôle de voir que la présence de certaines personnes par rapport à d'autres aide à stabiliser ma vie personnelle, professionnelle et sociale. C'est surtout drôle de voir l'impact dans ma vie familiale.

Hier, assis dans la Petite Italie, entouré de ma famille pour la fête de mon petit frère, je me suis perdu dans mes pensées. J'observais. J'observais ce que San avait réussi à faire en si peu de temps. Cette réussite, personne ne l'avait fait avant. Personne n'avait réussi à se faire aimer de par ma mère ... c'est con ... mais c'est vrai. Frédéric n'y est pas arrivé encore et nous nous connaissons depuis presque 10 ans. My a eu son amour une fois que nous nous sommes séparés. Mc (pas Hammer, l'autre) a reçu un accueil plutôt froid lorsque nous avons fait les présentations.

C'est peut-être la présence des Zhoms qui a adoucit les peurs de chacun et rapproché les deux camps. C'est peut-être la douceur et l'amour que moi et Sandra avons qui calme les deux parties. Je ne sais pas du tout.

Ce que je sais, c'est que hier, pour la journée anniversaire des 24 chandelles de non frère, je n'aurais vu personne d'autre m'accompagner.

Je pensais et je me disais que je n'aurais pas voulu personne de mon entourage ou de mes anciennes fréquentations à ce match de l'Impact ou j'ai pété ma coche de voir que mon frère n'arrivait pas et surtout de voir le visage si piteux de mon paternel qui attendait de l'autre coté de la clôture. Ce même match où la Heinekein coulait à flot et ou Biello m'a démontré qu'à 33 ans, il est encore possible de faire des miracles sur un terrain. Vivement mon retour avec un ballon rond aux pieds.

Pas voulu non plus partagé ces pâtes et ce vin avec une autre personne qu'elle. C'est sûrement les effluves de la boisson qui me monte encore au cerveau (note to self : Ne jamais faire la baston un dimanche soir, tu n'es plus jeune jeune :p) mais je déguste encore plus la vie et les plaisirs de cette dernière depuis le destin m'a accolé sa présence.

Pas voulu quelqu'un d'autre, dans cet appartement ou nous étions seuls à profiter des plaisirs qu'il nous était pas possible de profiter quelques heures plus tôt.

J'avais dans l'idée de parler du ballon rond, du soccer et de l'impact que ce sport a eu sur ma vie.

J'avais envie de parler du fait qu'il m'a sûrement appris à concentrer mes énergies percues en trop en me défonçant dans le sport au lieu de faire le pitre dans la rue.

J'avais envie de revenir sur le peu de choses que j'ai dit hier (Non, Do, ce n'est pas une fenêtre fermée ... mais une réflexion non digérée encore) et parler de ce voisin que j'ai revu et de tous les souvenirs qu'il m'a fait remonté. De le voir avec sa fille alors que moi j'étais accompagné du plus vieux des Zhoms. De voir l'évolution que chacun avons réussi à avoir chacun de son côté.

Mais j'ai plutôt laissé mes doigts aller. Ce sont eux qui ont décidé de s'ouvrir ainsi et d'expliquer à quel point je ne voudrais personne d'autre qu'elle dans mon existence. Elle me comble. Elle réussi à calmer certaines ardeurs et à en alimenter d'autres pour me rendre plus stable et plus intenses.

Elle m'aime comme je l'aime. Je lui fais partager mes passions sportives et cet hiver, j'aurai le privilège de partager les siennes.

Les nuages sont parfois présents, la vie n'est jamais facile surtout quand j'y mets mon petit grain de sel, mais je n’ai jamais été aussi bien.

Je m'amuse, je suis curieux, je redécouvre un Carl qui a envie d'apprendre, d'approfondir et d'acquérir de nouvelles connaissances de par l'expérimentation.

Je revis, alors que j'étais cliniquement mort depuis une trop longue période.

Je suis encore saoul, mal de tête du lendemain de veille, mais je suis heureux.

Merci à ma famille pour hier, merci tante Li pour ton magnifique commentaire. Merci Cle d'être qui tu es ...

La journée s'annonçait mal et a finalement repris du poil de la bête. Je suis épuisé, mort, pu de force, mais j'ai le sourire ...

Et j'ai hâte de voir les Zhoms ... chérie, on part quand? :p

11 ans que les railleries sont terminées.

11 ans que mike est décédé.

11 ans que j'ai quitté l'enfer que j'ai vécu.

Pourtant, je ne fais que commencer à m'en sortir. En fait, hier, j'ai bouclé la boucle ...

j'avais envie d'en écrire plus sur ce sujet ... mais je crois que pour avancer, il est mieux que je me limite à ceci.

Sois en paix, mike, je vais aller saluer les autres de ta part dans quelques semaines.

Dans la même demie heure, Tim Horton et Desjardins viennent d'avoir une publicité concue par le plus vieux des hommes ...

je me demande si je devrais proposer le concept aux agences ... le concept de Desjardins est franchement bon.

J'me coucherais en tite boule, j'feel mousse de nombril ...

La personne qui vient de faire cette citation n'est pas du genre à en faire des aussi bonnes ..

Bravo à elle ... car c'est ma citation de la semaine :p

Parfois les tempêtes portent des prénoms comme c'est le cas avec les ouragans.

Parfois les tempêtes sont inconnues ...

Ces tempêtes nous bouleversent, nous chavirent, détruisent bien des choses sur leur passage et laissent des séquelles. Ces tempêtes nous font perdre le nord.

Quand des gens que j'aime vivent une de ces tempêtes, j'aurais envie de tout faire pour les aider. Envie de me donner corps et âmes pour faire en sorte qu’ils s’en sortent. Je ne compterai jamais mon temps ou mon argent pour aider quelqu’un qui compte pour moi. J’utilise mes mots pour expliquer, réconforter, tenter de comprendre et parfois, malheureusement, imposer une autre vision des choses.

Ma « petite grande soeur spirituelle » a souvent tenté de m'expliquer que je dois aider par mes agissements plutôt que par mes mots.

Cependant, mes agissements trahissent parfois mes pensées. Comme si je n'avais pas le contrôle de mes gestes mais que je contrôlais parfaitement mes pensées. Ce que je dis représente pourtant tellement ce que je ressens. Je parle en utilisant mon cœur, mon âme et mon être …

Ces temps ci, une personne que j'aime énormément est en difficulté. Je n'ai qu'une seule envie, c'est de l'aider, de la soutenir et de même faire les choses pour elle.

Je donnerais tout pour lui permettre de remonter à la surface. Mais je ne peux rien faire sauf de continuer à être présent et de cesser de déconner comme il m'arrive parfois.

Un bateau qui déraille tout en voguant sur une mer agitée, ce n'est sûrement pas la bonne solution.

J'ai compris, je vais calmer les eaux et rester en retrait. Quand viendra le temps, il sera possible de m'utiliser (je suis quand même « les eaux ») afin de concocter une petite tisane relaxante qui aidera à passer au travers d'une période remplie de pleurs et d'émotions.

On vient tout juste de me dire que le tamtam était parti. Qui sait, peut-être que les mots pourront soulager quelques souffrances après tout.

Ma mémoire flanche ... trop souvent!

maintenant, elle à de l'aide ...

merci!!!

La tête et le coeur réclament une pause aujourd'hui.

Je vais leur offrir ... de retour demain, qui sait!

Il y a de ces matins ou rentré au boulot s'avère une solution potable puisqu'il fait si chaud dehors qu'on est mieux à l'air climatisé en dedans.

Ces matins de chaleurs (non, je ne me plains pas) me font divaguer. Je suis dans le métro et je regarde les gens. Je les regarde et je me mets à penser. J'essaie de ne pas penser au fait que j'ai chaud et que je sue à grosse goutte.

Je regarde mon t-shirt et mes jeans et je me dis que c'est sûrement la raison de ma liquéfaction. Si je portais des vêtements moins chauds, je serais en mesure de sentir la brise et de mieux supporter la chaleur. Mais je ne peux pas accepter de me mettre en bermuda. C'est laid des bermudas, je n’aime pas ça et je n'ai jamais aimé ça! J'en ai porté ... mais je n'ai jamais aimé ça. Sauf que parfois, la chaleur à raison de mes convictions.

Je vais faire grimper certaines personnes dans les rideaux encore une fois car je m'apprête à généraliser de façon honteuse mais j'aime le risque (lol) je vais donc ... roulement de tambour, généraliser (Carl, tu es vraiment le roi de la répétition :D) !!!!! L'habillement d'un gars l'été, ce n’est pas beau, pire ... c'est archi laid !!!!!! Voilà, ça doit faire des semaines que j'en parle. Le choc est venu en voyant ma petite personne en bermuda en début d'été et il n'a plus jamais voulu me quitter.

Honnêtement, le seul mec dans ma vie que je trouvais cool en bermudas c'est Frédéric car il avait les mollets pour.

Pourquoi les filles sont si jolies dans leurs petits atours et les mecs n'arrivent pas à les égaler ?

Suis-je trop critique? Peut-être que le fait que je ne me trouve pas séduisant en bermuda fait que je ne peux pas supporter d'autres hommes habillés ainsi.

Peut-être aussi que le joli look d'été des femmes me monte trop à la tête. Je n'en sais rien. Cependant, je supplies tous les hommes de la terre, ne copiez pas le look ci bas. Et si vous décidez de porter des bermudas malgré l'interdiction, vos bas, ne les remontez pas ... c'est horrible, que dis-je, c'est affreux! Continuez avec le look pantalon propre avec la chemise assortie ou le look jeans t-shirt, tentez d'abandonner le bermuda, surtout si vous êtes grand comme moi, on dirait que c'est pire. J'accepte cependant le pantalon 3/4 ... mais avec des sandales ou des souliers pas de bas! Please, aidez mes yeux, donnez généreusement.

Et mesdames, continuez ... votre look estival est parfait.

Après la fatigue, je pense que je suis affecté par la chaleur ...

C'est sûrement mes lectures du week end (Un Batman/Superman et un Fantastic Four) qui m'ont fait pensé à ceci ce matin mais je me sentais dans un monde parallèle. Un univers différent.

Premièrement, les Zhoms sont chez leurs grands parents ... alors disons que la matinée était franchement différente. Nous avions le temps de lire, de se parler, de boire café et jus d'orange sans être à la course folle pour préparer tout le monde.

Nous avons aussi ouvert la télé, pour voir que c'était François Charron qui animait Salut, Bonjour. Vraiment un univers parallèle.

Dans mon univers parallèle, plein de choses diffèrent de celui de l'univers que je connaissais avant. Dans cet univers, ma blonde n'a plus le droit de m'écrire à partir du boulot, Sylvain doute de ses textes, Do se saoule, Isabelle doute de sa petite personne et pis quoi encore? Schnouts n'aimera plus Batman? CFD ira s'installer à La Tuque afin d'être encore plus rurbain? Non, je sais, le pire qui arrivera c'est Trois-Rivières qui va cesser de sentir le chat mouillé.

Non, je m'insurge ! Matthieu, cesse de modifier le monde dans lequel on vit. Fait rentrer les choses à la normal. Toi qui écris l'histoire de la vie, reprends le contrôle. Les vacances ce n'est pas pour aujourd'hui et ce n'est surtout pas une bonne idée.

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Ouf ... j'ai besoin de dormir je pense!

Les premiers lendemains de veille pour un couple sont souvent les plus rigolos :D

J'ai 28 ans ... ça fait plus de 10 si ce n'est 15 ans que je vais dans les bars.

Je danse sans cesse. Je commence en entrant dans le bar et je fini lorsque le DJ décide qu'il est temps pour tout le monde de rentrer ou lorsque mes forces m'abandonnent.

Je danse parce que j'aime la musique, je danse parce que j'aime l'ambiance, mais je danse aussi parce que j'aime les filles. Des mercredi, vendredi, samedi et parfois dimanche à me faire aller sur la piste de danse. Des soirées avec Fred, N et plusieurs autres amis. Mais bon, je pense que Fred a toujours été mon meilleur accompagnateur.

Des jeudi soirs à l'université alors que j'avais droit de la famille le lendemain matin et que je ne dormais que quelques heures avant mon cours. Et depuis quelques temps, des vendredi et des samedi sur le plateau.

C'est comique de voir que j'ai eu le même stratagème pendant tant d'année. C'est ironique aussi de voir que j'ai comblé hier ce que j'avais envie de combler depuis tant de temps.

Contrairement à certains, je ne réussis jamais à "scorer" dans un bar. Pas que je danse mal ou que je sois mal asticoté, mais je ne sais pas, je ne "pogne" pas.

Sauf cette fameuse soirée au Passeport où une femme dans la 30aine avancée est venu me parler de mon énergie sur la piste de danse. Après quelques minutes à lui jaser, ce fut la fin des haricots.

Mais bon, revenons au stratagème. J'arrive au bar, je me mets à danser et je regarde les gens autour de moi et dans le bar, je fais mon tour de reconnaissance.

Je "spotte" la fille que je trouve la plus jolie et la plus tripante. Je la regarde et je vais danser pas trop loin pour la voir aller. Si son genre, sa joie de vivre et son regard me plait, je vais rester pas loin. Sinon, je cherche ailleurs.

Si j'ai du courage (lire je me sens insouciant ou juste bien saoul), je vais aller lui dire dans deux, trois heures qu'elle est magnifique et que ce fut un plaisir de la regarder danser et s'amuser. Une fois cette petite phrase utilisée, je m'en vais plus loin ou je pars.

Je n'ai jamais été capable de faire autre chose que ça.

Hier, je suis retourné veiller. Même stratagème, mais j'ai réussi à repartir avec la plus belle fille du bar à mes yeux.

Car voyez vous, hier la plus belle fille c'était Sandra. Elle était magnifique (à voir les loups roder autour, je n'étais pas le seul à penser ça.) mais surtout, elle dansait divinement bien. Elle était la maîtresse de la piste de danse. Elle était dans son élément et se foutait bien de ce que les autres peuvent penser. C'est ce qui me charme le plus d'une fille dans un bar. Ce petit "je m'en foutisme" qui exprime qu'elle est là pour danser, pour se faire remarquer au pire mais qu'il n'y en a pas un "estie" qui va rapporter le trophée de chasse à la maison.

Je n'ai donc jamais cruiser LA pitoune, mais plus la fille dans sa "zone", son élément.

Hier, cette fille là, je suis reparti avec. Hier, cette fille là, j'ai dormi avec. Hier, cette fille là, elle m'aimait.

2 mois. 2 mois ... c'est le temps passé depuis les 61 derniers jours. (Original non ?)

2 mois, c'est aussi la période sur laquelle j'ai travaillé pour retrouver ma liberté mentale.

2 mois, c'est le temps passé avec ma poquée préférée à se rassurer, s'aimer, s'apprivoiser et fantasmer.

2 mois à partager la vie de deux êtres, les fameux Zhoms de qui je vante les exploits quelques fois. Sans enlever le prestige de la journée d'hier à leur chère mère que j'aime énormément, j'ai envie de parler de ces deux petites perles.

Peu de gens le savent, mais j'ai failli goûter à la paternité il y a quelques années. Des complications ont fait que ce petit être qui allait être mon fils ou ma fille, je ne l'ai jamais su, à fini dans le néant plutôt que de me donner des petits rayons de soleil tous les matins. Cet événement m'a bouleversé et me touche encore. J'ai encore des pensées, de la difficulté à lâcher le morceau (mais bon, rien de nouveau, me diront certains) face à cet événement "tragique".

Facile de me voir venir à cent mille à l'heure ... et oui, les Zhoms m'aident à mettre un baume sur cette plaie. Ma présence en tant que "Papou" (mon titre officiel en tant que copain de la maman) me comble de joie. J'adore jouer avec eux le soir après le boulot. Leur présence chasse de mon esprit les pensées qui sont tellement nombreuse que parfois rien de nouveau n'y entre. Mon corps brûle de les lancer sur le lit et de les entendre me dire "encore, encore" et de recommencer parce qu'il m'est impossible de leur dire non. Deux jeunes hommes demandent énormément d'attention et il me fait plaisir d'aider leur maman dans cette quête quotidienne.

Plaisir d'aller prendre une marche et de me faire dire la marque de chacune des voitures que nous croisons. (L’expérience est encore plus hallucinante quand on se promène dans un stationnement, faut le voir à l'oeuvre), plaisir de se faire dire en rentrant qu'il faut enlever ses souliers ou de se faire dire le matin qu'on doit absolument mettre ses pantalons comme si il s'agissait de l'avenir de la terre en dépendait.

Plaisir d'entendre le plus jeune rire comme un petit démon parce que je change ma voix ou parce que je fais des grimaces. C'est aussi un plaisir de les voir manger les fruits que j'ai coupé ou de penser à acheter du jus de raisin pour un et de pomme pour le second afin de pouvoir remplir leur petit gobelet.

Je ne suis pas leur père, ils ne sont pas mes fils. Mais nous faisons parti de la vie de chacun et il est primordial de le faire de la meilleure façon possible.

C'est mission accomplie si vous voulez mon avis. Mais bon, il ne faut pas le dire trop fort puisque l'on ne sait pas ce que l'avenir nous réserve.

Mais, d'ici là, je profite de chacun des merveilleux moments que la vie me réserve. C'est ce que j'avais oublié de faire par le passé. Je vivais à fond, mais oubliais d'en profiter. Voilà qui est en voie de guérison.

Des nouvelles de ma mère. Ce n'était pas le texte que j'avais prévu pour aujourd'hui, j'ai envie de parler des deux premiers mois de vie commune de moi et San, mais j'ai pensé que de parler de ma mère était mieux. Je n'ai pas réussi à faire un texte à la hauteur de ce que j'avais envie.

Je partage donc le texte que ma mère à envoyer à ses ami(e)s suite à sa rémission de cancer. Il est tel ma mère ... me semble que ça me fait penser à quelqu'un!

au cas où ça pourrait t'intéresser et parce que tu étais là à m'encourager lors des périodes difficiles de cette partie de ma vie, je suis très très heureuse de te dire ce matin que j'ai passé une colonoscopie ce matin et que tout est beau, pas de polypes, rien rien.................tout en neuf.......

J'ai aussi passé une batterie de prises de sang et tout est beau, fer, glande thyroide, etc.....Il faut juste que je surveille mon taux de cholestérol qui est près de la barre haute. C'est vraiment spécial parce que ça fait un an que je fais une diète sans gras et je dois surveiller mon taux de cholestérol.....mais paraît-il qu'il n'y a pas que le gras qu'on mange mais aussi l'âge.......Alors, ce doit être l'âge dans mon cas.......

Je trouve la Vie encore plus belle ce matin et c'est un signe que j'ai manifestement encore quelque chose à accomplir ici-bas...

Voilà ... le cancer touche plein de gens, de près ou de loin. Je suis donc content de voir ce que Marie Plourde à fait.

Le résultat est ironique ... mais bon :D

J'ai joué avec ce genre de jeu étant jeune ...

J'ai hâte d'en acheter un pour les Zhoms quand ils seront plus grand.

Faudra juste penser leur laisser leur jeu une fois de temps en temps!

Matthieu, c'est pas donné votre show ...


Dommage !!!

Des fois, j'ai envie d'écrire des choses ... de parler à des gens, que ce soit en disant des choses gentilles ou des choses plus dures.

Des fois, je me laisse aller, j'écris des paragraphes complets. Des pages complètes même. Des courriels qui sont bon, dont je suis fier et quand vient le temps de l'envoyer, je ferme la fenêtre. Je fais ça parce que je sais que ça ne me donne rien. Mon patron m'a dit un jour qu'il fallait choisir ses combats afin de ne pas dépenser son énergie là où ça ne vaut pas la peine. Il à raison. Celui ou celle qui me traitera de lâche de ne pas envoyer ces courriels, ne ferait que de lui donner raison et de me donner raison par la même occasion. C’est ma décision, ce sont mes choix et c’est à mon avis quelque chose que l’on doit respecter.

Hier, j'en ai jasé avec mon copain de bière. Il me trouve bon de résister à cette envie d'appuyer sur le bouton "send".

Moi aussi, je ne me trouve pas pire. Sauf hier soir, où je n'ai pas résisté. J'avais pourtant écrit deux choses avant celle qui m'a fait appuyer sur "send" et les deux fois, j'avais réussi à fermer la fenêtre. La troisième fois cependant, j'ai flanché et ce matin je ne suis déçu de ma faiblesse. Tout ce que ça m’a apporté c’est me prouver que j'avais raison. Ce "courriel" n'a absolument rien donné, n'a rien changé, rien modifié à ma vie ou à ma perception de celle-ci.

J'avais écrit un long courriel ce matin. Un courriel qui finalement n'aurait encore là rien donné. Cependant, j'ai résisté. J'ai fermé la fenêtre et j'ai écrit autre chose. J'ai suivi les conseils que l'on m'a donnés hier soir. Je ne peux que remercier celui qui m'a donné ce précieux conseil. Merci pour hier soir, merci pour le conseil, merci pour les autres explications aussi. La prochaine fois, c'est moi qui paie la bière!

J'ai souri en consultant cet article dans le JDM de ce matin.

C'est que mes parents font parti des gens qui se sont fait marier par le maire de la municipalité de mon enfance et que le maire Bourque ira marier sa fille par chez nous comme on le dit si bien.

Un sourire, un petit sourire rien de plus. Mais comme le disait une amie de la famille dans un reportage qui avait été diffusé à Radio-Canada, "c'est différent". Oui, c'est très différent de voir un mariage se produire autour de la piscine familiale.

Ce sera leur 3e anniversaire de mariage cette année. Le même jour que la fête de mon frangin ...

mais bon .. faut pas que je commence, je ne finirai pas (la montée de lait) et je n'ai pas de temps pour ça ce matin.

Finalement, plus je réfléchis et plus je me dis que j'aurais du me contenter du sourire.

Question de faire encore des réactions ... (non mais c'est le fun de voir autant d'action ici) voici un envoi d'un collègue de travail. Je ne partage pas le propos de la blague ... mais elle m'a fait sourire :p

LE CONTE DE FÉE LE PLUS COURT DE L'HISTOIRE
Un jour, un gars demande à une fille:
- Veux-tu m'épouser?
Elle répondit :
- Non!
Et le gars vécut heureux le restant de ses jours.
FIN

Pourquoi les hommes deviennent-ils aussi "gaga" lorsqu'ils sont en présence d'une fille qui les intéresse. On perd notre intelligence, parfois notre dignité.

Quelle s'appelle Annie, Belinda, Karla ou Sophie, la femme à le pouvoir de rendre l'homme gaga.

Je le savais déjà depuis fort longtemps, mais j'en ai eu la certitude hier en écoutant le show de Ben Laden. Pierre Brassard était en pamoison devant Annie Pelletier. Il réussissait à être encore plus mauvais que d'habitude. (D'ailleurs, si jamais tu me lis MSM, cesse de crier à la vue de pétard, merci.) Il cafouillait, il s'enfargeait, il était sous le charme.

C'est ce qui se passe quand on est sous le charme. Nous perdons notre intelligence, notre esprit de synthèse et on se laisse guider par nos désirs et nos passions.

Vous pensez que cela n'arrive qu'aux vedettes? Aucunement, des auteurs tel Jardin ont fait fortune en exploitant cette thématique tout comme l'ont fait de nombreux auteurs québécois. Même dans l'univers des blogues, il arrive d'être témoin d'une situation du genre. Sans oublier, monsieur et madame tout le monde dans le métro, au festival de jazz, sur une plage en Gaspésie ou dans un bar d'Alma (Bein quoi, il y a 7 filles pour un gars).

Une belle fille qui sait écrire ou parraît bien arrive ... arrive une salve de compliments et tous les meks seraient prêt à la suivre jusqu'au bout du monde. C'est ce qui est arrivé à Brassard hier, nouvellement célibataire, il a perdu la raison en voyant le charme de la jeune dame assise à ses cotés.

Et les femmes connaissent notre faiblesse. Comme le disait si bien Victor Hugo : « La femme a une puissance singulière qui se compose de la réalité de la force et de l'apparence de la faiblesse. » La femme feint donc de ne pas être au courant du pouvoir qu'elle possède et dès que nous avons le dos tourné, elle frappe à grand coup.

Parfois, elle frappe si fort que nous devenons papa, mari, ou amant pour la vie. Ces situations précises font que c'est correct d'être faible. Surtout quand on à la chance de tomber entre bonne main. Certains de mes collègues masculins souffriront plus dans leur vie que moi. Je regarde la fille qui partage la vie d'un et de l'autre et je les plains d'être sous l'envoûtement. Mais, outre me mêler de mes affaires, je ne peux rien y faire.

Oui, messieurs ... malgré notre volonté à être fort et à s'afficher comme étant des hommes, nous sommes soumis au charme et à la beauté féminine.

Mais bon, puisque nous sommes des êtres faibles, assumons le et buvons au bonheur et à l'amour.

La fille qui à fait cette recherche ... (avec laquelle elle est arrivée sur mon blog)

Bein, je crois qu'elle aime son chum et le trouve incroyable.

À moins que ce soit un mek !!!

La double vie de mon voisin peut-être :p

lol!

Mes appréhensions d'hier étaient fondées. À force de ne pas en parler nul part, il est facile de comprendre que personne ne se présente.

Il n'y avait pas plus de 4 000 personnes au spectacle hier. 4 000 fans intenses mais seulement 4 000 fans tout de même. Dans un stade qui peut en contenir 8 000, on se serait cru à un match de feu nos Expos contre les Padres de San Diego (BORRRRRING !!!!). Heureusement, mes deux fendants préférés étaient présents (j’ai rapidement remarquer le premier et ce n’est que plus tard que j’ai vu le second). J'ai pu les pointer de loin et les présenter à ma douce. Bizz de les voir se parler. Je me suis rappelé le temps ou j'avais ma passe de presse moi aussi. :D

Les Pixies (la prestation d'hier est en vente sur le net) d'abord ... ah ces valeureux guerriers. J'aurais adoré avoir droit à "Here comes your man" comme les torontois y ont eu droit, mais ce ne fut pas le cas. Kim Deal semblait être en forme mais, elle était recluse. Se tenait toujours à coté du drum. Un drum qui, soit dit en passant, était très mal calibré. Francis Black, lui, était fidèle à lui même. On entre, on défonce et on ne dit même pas bonjour en ressortant. Les gars de la sono n'avaient certainement pas pratiqué dans l'après midi, car ils n'ont jamais réussi à être dans le coup. Mais bon, je me contente ... j'ai vu les Pixies. Je ne peux que regretter de ne pas les avoir vu lors du "sell out tour". Mais bon, personne ne me fera payer 45 $ pour aller voir un spectacle au Cepsum. C'est un gymnase bordel ! Même Beck ne m’aurait pas. Et dieu sait que je le vénère.

J'ai préféré payer 55$ pour voir deux bands dans un stade extérieur. Un joli petit stade d’ailleurs. Je jalouse quelque peu Frédéric d’avoir vu DMB dans ce même stade, il y a de cela quelques années. On est loin du stade de baseball du Parc Jarry. Ce n’est pas le spectrum, ni le métropolis, mais c’est un endroit sympathique.

Ce matin, donc, je ne regrette rien. Je vais être critique, mais je ne regrette pas du tout. Pourquoi ? Parce que pour … (J’essaie de la faire comprendre à ma douce celle là mais ça rentre pas) Non, sans blague, c’est tout simplement parce que j'ai fait vivre une expérience à Sandra. Je lui ai fait vivre un spectacle live. Son premier.

C'était donc parfait dans ce sens là.

Mais, il y a tout de même des bémols. Et ces bémols viennent principalement du manque de son des Pixies comme je le disais plus haut, mais aussi de la part de Weezer.

River Cuomo ne semblait pas dans le coup. Sur "Island in the sun", on aurait dit qu'il allait s'endormir. Cette pièce enjouée devenait presque un air funèbre tellement le rythme était lent et la passion n'y était pas. Ils se sont repris cependant sur Buddy Holly qui était beaucoup plus rock.

Le choix des chansons aussi était étrange. En fait, c'était plus le pacing qui était vraiment bizz. Il n'est pas normal d'avoir eu des moments pour pisser dans une aussi courte prestation. J'ai vu mes voisins se rassoir à plusieurs reprises ... c'est inquiètent ...

Mais bon, je n'avais jamais vu Weezer et les Pixies. Vais-je retourner les voir? Weezer, non, je ne pense pas. Les Pixies ... sûrement.

Hier soir, j'ai revécu mes soirées avec Nass à l'Utrek le mercredi. Hier soir, j'ai entendu les pièces que j'avais envie d'entendre. Hier soir, j'ai dansé et je me suis saoulé l'esprit.

Hier soir, malgré toutes mes critiques ce matin, j'ai quitté le spectacle le sourire aux lèvres. J'avais vu deux groupes fétiches live.

Hier soir, j'étais amoureux (de la musique, de ma blonde et de la vie) et pas critique. C'est ce matin que le bat blesse plus. :D

Est-ce la fin du jazz? (Il ne faut pas rater le show de Pat Metheny) La présence de ZZTop à Québec ? (Quoi que ça aussi j'en ai pas entendu parler du tout) Ou le fait que les montréalais n'en ont rien à fouttre ??? Montréal aura tellement de spectacles cet été, qu'elle est rendue blasée. Elle n'est plus impressionnée comme elle l'était jadis.

Je ne sais pas du tout. Mais on ne parle pas nulpart de la présence en nos murs de Weezer et des pixies ce soir?

Moi qui attend comme une brave petite bête, j'aurais aimé ça qu'une station de radio en fasse jouer un peu. Même The Buzz ne le mentionne pas.

Ouais bein, on va sortir les cds et se préparer ... coup d'envoi : Ce soir 19 heures!

Voilà ce que j'ai croisé sur la route ce soir. Quand même plaisant voir autant de richesse et d'opulence sur les routes de la province.

De la bonne bouffe, du bon vin et de jolies discussions. Encore une fois j'ai été choyé. Mais bon, là je vais plier du linge pour pouvoir me coucher, je suis brulé !

Demain est un grand jour ...

Demain c'est le début de ma saison de spectacles :D

Deux gaminets SVP !

J'ai plusieurs publicités reliées au monde du Football (soccer) sur mon ordi. J'adore ce qu'ils sont capable de réaliser. Cependant, celle-ci botte des culs!

C'est vraiment débile!

Al-Qaïda et moi avons une relation spéciale. Ils se font entendre (lire faire sauter des bombes avec une puissance sans but) aux étapes marquantes de ma vie.

Je m'explique. Le 11 septembre 2001, j'étais en train de me préparer à l'entrevue chez mon premier employeur montréalais quand les avions ont frappés les deux tours. C'était la panique, la confusion partout. Pour une entrevue d'embauche qui ne pouvait pas être déplacée puisque j'arrivais de l'extérieur de la ville, ce fut une expérience inoubliable. Je m'en rappelle encore très bien. C'est cette journée où j'ai finalement convaincu My de me suivre jusqu'à Montréal. C'est cette journée où j'ai atteint le paroxysme du "je, me, moi".

Je ne me souviens pas ce qui m'est arrivé le 11 mars 2004 lors des attentats de Madrid. Alors, je leur laisse celle-ci.

Aujourd'hui, un nouvel attentat meurtrier. Dans mon entourage, il à moins d'impact que celui de New York. Est-ce la non proximité ou le manque de sensationnalisme qui fait qu'on est moins touché?

Je ne sais pas, tout ce que je sais c'est que c'était quelque chose de marquant dans ma vie encore aujourd'hui. Et oui aujourd'hui, c'était la première journée ou "papou" allait reconduire les Zhoms à la garderie. J'ai eu une larme. Moins que Sandra, mais j'ai tout de même versé une larme. J'adore ces petits êtres et je crois qu'ils m'aiment bien aussi. D'un extrême égoïste, je suis passé à un être généreux et qui donnait de l'importance aux autres qui m'entourent.

C'est franchement la première relation dans ma vie ou je n'ai pas ou presque pas de moments d’égoïsmes. Pas que je me fais marcher sur les pieds, pas que je me perds dans ma relation, je suis juste plus conscient de ceux et celle qui m'entourent. C'est important maintenant.

Ça me fait mal de voir cette violence. Ça me fait mal de voir la planète s'entre déchirer. Ça me fait mal car je veux aussi des Zhoms à moi et je trouve triste de leur donner la planète dans l'état qu'elle est.

Est-ce nos parents qui ont fait des erreurs? Est-ce leur faute? Sommes nous aussi responsables qu'eux ou réussissons nous à améliorer la situation?

Plein de questions en ce petit matin. Mais bon, écoutons SOAD pour se remettre sur pieds.

System Of A Down - Boom
Walking through your streets, where all your moneys are made.
Where all your buildings are crying.
Foolishment is working.
Evolving fake on houses, housing all your fears.
Sensitized by T.V.
Overbearing advertising,
God of conspiracy, with all your crooked pictures looking good.
Terror is building information for the public eye.
His eye to come forth.
Your next, more to come.

Boom! Boom! Boom! Boom!
Everytime you drop the bomb you kill the God your child has born.
Boom! Boom! Boom! Boom!

Modern globalization.
Crumpled with condemned nations, unnecessary death.
Mad at the corporations confronting your frustrations with a blinding flag.
Manufacturing concept is the name of the game.
The bottom line is money, nobody gives a fuck.
4,000 hungry children leave us with hours of starvation,
while millions are spent on bombs, creating death showers.

Boom! Boom! Boom! Boom!
Everytime you drop the bomb you kill the God your child has born.

Boom! Boom! Boom! Boom!
Boom! Boom! Boom! Boom! Boom! Boom! Boom!
Why must we kill our own child.
Boom! Boom! Boom! Boom!
Everytime you drop the bomb you kill the God your child has born.

Boom! Boom! Boom! Boom!
Boom! Boom! Boom! Boom! Boom! Boom! Boom!
Everytime you drop the bomb

Il y a peu de gens que je déteste dans la vie. Ceux que je déteste vraiment font parti d'un milieu que j'ai déjà fréquenté ... J'en ai d'ailleurs vu un hier soir à la télé. Un de quelques uns, je dirais ... ça fait un long moment que je n'ai pas pas vu le second dans ma liste d'ailleurs. Mais je sais qu'il ne s'est pas calmé. J'en suis sûr même. Faudrait s'informer, ce n'est pas rassurant.

Je déteste les gens qui sont vantards. Les gens qui ont toujours besoin de se prouver de par leurs connaissances ou par leurs mots. Je ne dis pas que je n'aime que les cruches, je suis entouré de gens brillants. Fred le premier. Mais, malgré ses petites manies, jamais Frédéric ne fera le fendant. Je l'ai vu des dizaines de fois boucher des pseudos intelligents avec le sourire qu'on lui connaît. (Fallait le voir faire avec ce docteur en mathématique qui prenait Frédéric pour un demeuré et qui a eu la leçon de sa vie. Il ne faut jamais mésestimer le muscle qui fait la sieste.)

Doit on absolument étaler la connaissance. Est-ce que les gens qui agissent ainsi sont des êtres instables qui doivent se prouver? Quelle est leur motivation, leur but véritable? J'essaie de comprendre.

J'ai moi-même été ainsi jadis. Avec les amis et les gens qui m'aimaient, j'ai modifié cette partie de moi et j'ai pris "mon trou" comme le dirait un ami. On a du me faire comprendre qu'il était préférable d'écouter que de parler et de prendre toute la place. Alors maintenant, j'écoute et je dois avouer que ceux qui m’avaient conseillés cette stratégie avaient raison. Depuis que j'ai commencé cette formule, je suis beaucoup plus heureux.

Quelqu'un voudrait aller dire aux quelques hurluberlus que je n'aime pas vraiment de se la fermer et d'écouter?

Des fois on hésite. On se dit que ça pourrait être plaisant, qu'on est encore vierge.

On laisse les heures passés. On se dit qu'on a encore le temps.

Et puis bang ... on lit quelque chose qui nous prouve que notre hésitation n'était pas sans fondement.

La santé étant fragile, on ira pas l'empirer.

Watatatow???

*Mise en contexte*
Dernièrement, j'ai libéré mon esprit. J'ai finalisé une relation qui a été d'une grande intensité dans ma vie afin de pouvoir donner toute la place à ma relation actuelle. Les rebondissements des dernières semaines m'ont fait réfléchir. Assis devant l'ordi, je me suis mis à me demander comment je pourrais rendre un dernier hommage à cette relation mais aussi et surtout expliquer les derniers mois et les faits cocasses. C'est sûrement la chaleur, mais bon ... retournons à Watatatow !
*Fin mise en contexte*

Et bien, en exclusivité, en primeur, voici la nouvelle saison. D'entrée de jeu, la nouvelle saison se déroule sur 6 mois avec une emphase dans les deux derniers mois. Les 4 premiers étant intense mais jamais aussi intense que les deux derniers. Vous pouvez me croire sur parole. Des rebondissements, des acteurs qui entrent en scène et qui disparaissent, des « fouteux » de troubles, des règlements de compte et souvent une petite morale à saveur éducationnelle. Un homme et une femme dans la vingtaine sont les personnages principaux. Les deux travaillent dans le milieu des jeunes, de la leur présence dans la série. Il y a eu des mensonges, des tiraillements, de la maladie, des peurs, des gens intenses, des accidents, de la souffrance, des rires aussi. Il y a eu des moments charnels, de la passion, de l'intensité et du plaisir. (On tentait de vieillir l'auditoire, de redonner un souffle à la série.) Il y a eu des prises de becs et de l'incompréhension. Il y a eu des doutes et de la folie aussi. Dernièrement se jouait l'épisode final de cette nouvelle saison. La table était mise depuis quelques temps. On tournait autour du pot et il fallait régler les chicanes entre les deux parties. Grâce à des scénaristes talentueux, les deux acteurs principaux se sont enfin parlés. Ils ont enterrés la hache de guerre et ont agis en adulte. Sentant que l'histoire tournait en rond et n'allait plus nul part, les scénaristes ont introduit de nouveaux personnages dans les derniers scripts de la série. Juste à temps pour l'épisode final. Puisque nous sommes dans wattat, les nouveautés ont été dure à prendre et ont causés bien des remous. Le passé n'était pas réglé, le présent ne pouvait pas évoluer correctement. Mon rôle dans tout ceci ? J'étais probablement le personnage troublé qui fouttait la merde. Celui qui n'a pas la tête et le coeur en paix. J'étais encore hanté par certaines choses, par des points que je considérais non réglés. C'est donc dire que la longue discussion que les deux personnages principaux ont eue a aidé à me libérer de plusieurs démons. Tout ceci m'a aussi aidé à finir ma libération. D'ailleurs, cette saison de Watat est remplie de rebondissement mais aussi et surtout de gens patients. Car il fallait être patient et ferré solide pour endurer la tornade des derniers instants. Cependant, il est évident que tous y ont trouvé leur compte et en sont heureux. L'épisode du colis vaut à lui seul son pesant d'or. Je n'ose m'imaginer la face de la personne qui reçoit une boite qui ne lui est pas destinée. Je suis franchement marrant parfois. L'épisode final a été bien fait. Le scénario était bien écrit, l'audio était bien réalisé et les retours dans le passé, étaient bien montés. Il n'y en avait juste assez. Les deux héros partent chacun de leur cotés sachant qu'ils vont sûrement se recroiser un jour. Il fallait une ouverture tout de même. Mais ils repartent surtout heureux. Heureux d'avoir mis un terme à cette dualité, à ce combat contre des fantômes qui n'en étaient peut-être pas. Heureux de pouvoir avancer vers leurs projets respectifs et pouvoir bâtir du nouveau sans avoir à craindre l'ancien. Franchement, vous auriez du y être, c'était touchant et rempli de sincérité. D'ailleurs, on m'annonce à l'instant même que deux "spinoffs" de la série seront produites. Je ne connais les plans que pour une des deux séries. Et laissez moi vous dire que le personnage troublé se porte bien et est pétant de santé. Vous aurez sûrement la chance d'en savoir plus puisque la série vient à peine de commencer.

Le personnage principal a changé. Est plus mature, quoi que toujours aussi intense, il canalise sa fougue et sa passion en une seule et même personne. Il ne cède plus aux diverses tentations et aime de tout son coeur et de tout son esprit. Il a surtout trouvé un petit nid douillet dans lequel il se sent bien. Il est lui même. Il c'est rendu compte qu'il n'était pas complètement à l'aise à l'époque de Watatatow. Il ne comprenait pas ce qui ne fonctionnait pas mais il n’était pas complètement lui même. Maintenant libéré, il comprend. Il est en mesure d'aimer sans restriction, sans peur ... sans retenue.

Cette nouvelle série sera tout aussi exaltante que la dernière saison de Watata ... mais sera moins tumultueuse. Beaucoup moins tumultueuse. Car les scripteurs ont finalement compris que le personnage principal ne pouvait plus en prendre. Qu'il avait atteint son "quota", que maintenant la vie méritait des moments plus calme.

Je ne sais pas ce qui arrivera du second spinoff de la série. Cependant, je suis capable de vous dire que je souhaite aux protagonistes la meilleure des chances et un bonheur grand comme le monde.

J'ai écouté live 8 hier après avoir travailler avec mes jambes et mes bras :D

et si vous connaissez la fameuse phrase de Jules Cesar, et bien je l'ai traficotté un tantinet pour expliquer ce que j'ai ressenti en voyant le spectacle d'hier ...

Extraordinaire.

Tout simplement.

Je suis un maniaque de musique.

C'est une de mes raisons de vivre.

En ce moment à CTV est diffusé le live 8 concert. La suite logique du Live Aid que j'ai si souvent vu à la télé ou que j'ai si souvent entendu (merci cle charles). D'ailleurs, faudrait que j'aille acheter le DVD.

Je suis en train de vivre un des moments magiques de ma vie. Je vais me garocher sur le DVD, mais d'ici là, je vous inviterais à aller vous inscrire sur le site de Live 8 pour appuyer la cause et faire cesser la pauvreté africaine.

Merci à tous.

Pour des raisons X, j'ai du faire augmenter ma carte de crédit. Je déteste le crédit et je veux me sortir de cette vie (vivre à crédit) le plus rapidement possible.

Mais je constate qu'il est extrêmement facile de vivre à crédit et même d'augmenter son crédit. A preuve, sans même parler à personne, j'ai fait augmenter mon crédit de 700$. Ce n'est pas rien.

C'est fou, fou, fou ... franchement trop fou. Pourquoi diable avons nous autant de facilité à s'endetter. Pourquoi les gens peuvent ils s'appauvrir autant. En tant que société, c'est grave.

Mais bon, après avoir regardé Hôtel Rwanda hier, (si vous avez pas lu "Un dimanche à la piscine de Kigali" de Gil Courtemanche, le livre et le film sont des incontournables) je trouve notre société encore plus folle et nombriliste.

On s'occupe de notre propre confort et on ferme les yeux lorsque l'on voit la détresse des autres. La citation du film est celle de Joaquin Phoenix lorsqu'il dit que les gens qui vont voir la misère des Rwandais à la télé vont dire que c'est dommage. Mais n'attendez pas qu'ils bougent leurs fesses cependant.

Désolant, franchement désolant. Et on dit qu'au Soudan la situation n'est guère plus reluisante.

J'ai souvent déménagé dans ma vie.

Mon physique aidant, je suis celui que les amis appellent lorsqu'ils doivent déménager. Cependant, ce n'est pas toujours concluant. Je me rappelle encore le déménagement de la laveuse à fred. Maudit que je n'avais pas livré la marchandise cette journée là.

Cette année, je ne déménage pas. À une certaine époque dans l'année, j'ai cru que j'allais déménager en juillet mais le destin me réservait une accalmie pour une année.

Je suis cependant allé aider deux amies. Mais je n'ai plus la même forme que j'avais. Cette année a été plus difficile.

Sûrement à cause du fait que la chaleur à l'extérieur est accablante.

J'ai tout de même fait ma part. J'ai déménagé 4 fois en deux ans et demi. 4 fois à faire et défaire des boites. 4 fois à m'adapter à un nouvel environnement.

Je prends donc congé cette année. C'est essentiel. Cependant, qui sait ce qui arrivera l'an prochain.

Seul mon destin le sait.

Alors à vous tous, bonne fête du déménagement.