Parler politique ...
Je ne parlerai que très rarement de politique.
J'ai cependant suivi le débat de David et Alex sur la journée des patriotes et la séparation du Québec. Bien qu'intéressant au départ, le sujet a malheureusement dérapé comme à toutes les fois où on parle de politique au Québec.
Mais bon, hier soir, assis un verre de vin « Massi » à la main sur le bord d'un lac, j'ai entendu une nouvelle qui m'a quelque peu bouleversé. Je n'ai pas versé de larmes, je n'ai pas non plus fait de grands gestes, j'ai juste été bouleversé.
Bernard Landry a décidé de rendre les armes de chef et de rejoindre l'ombre comme a fait Parizeau avant lui.
Cette décision est une sage décision. Elle donne la preuve qu'il ne s'accrochait pas à son siège comme le pensait plusieurs militants et sbires du parti. Pourtant elle laisse le parti avec un grand vide mais aussi avec une nécessité de procéder avec de grands changements.
Landry était le dernier soldat de Lévesque. Landry possédait un charisme certain. Un élitisme qui déplaisait à bien des gens mais qui m'avait toujours séduit. J'aimais le fait que cet homme qui adorait sa nation soit en mesure de la faire évoluer au lieu de la niveler par le bas. Il préférait de loin l'évolution de son "peuple" que de le voir devenir de plus en plus épais. Épais dans le plus mince je dirais poliement. Je lui dis donc merci.
Mais bon, "Bernie", insatisfait du vote de confiance qu'il a eu, a décidé de quitter le navire. Il ne quittera pas le navire de la souveraineté mais bien celui de la politique.
Je ne peux que souhaité le retour d'un politicien rembli de charisme et de bonne volonté. Cet homme c'est André Boisclair. Mais bon, il est peut-être trop tôt pour le ramener dans l'arène. Peut-être devrions nous attendre quelque peu avant son retour. Laissé la place à un François Legault, un Jean-Pierre Charbonneau, cet ancien journaliste que je considère comme un être à part ou à un Gilles Duceppe qui pourrait faire le saut en politique québécoise.
Nous verrons dans les prochains jours, dans les prochaines semaines ou dans les prochains mois même ce qui adviendra. Mais je ne peux que souhaité en tant que militant de l'avenue "centre gauchiste" québécoise, que nous assisterons enfin à un vrai changement.
Je ne pensais jamais parler politique ici dans ce blog, et je dois admettre que ça fait du bien.
J'ai cependant suivi le débat de David et Alex sur la journée des patriotes et la séparation du Québec. Bien qu'intéressant au départ, le sujet a malheureusement dérapé comme à toutes les fois où on parle de politique au Québec.
Mais bon, hier soir, assis un verre de vin « Massi » à la main sur le bord d'un lac, j'ai entendu une nouvelle qui m'a quelque peu bouleversé. Je n'ai pas versé de larmes, je n'ai pas non plus fait de grands gestes, j'ai juste été bouleversé.
Bernard Landry a décidé de rendre les armes de chef et de rejoindre l'ombre comme a fait Parizeau avant lui.
Cette décision est une sage décision. Elle donne la preuve qu'il ne s'accrochait pas à son siège comme le pensait plusieurs militants et sbires du parti. Pourtant elle laisse le parti avec un grand vide mais aussi avec une nécessité de procéder avec de grands changements.
Landry était le dernier soldat de Lévesque. Landry possédait un charisme certain. Un élitisme qui déplaisait à bien des gens mais qui m'avait toujours séduit. J'aimais le fait que cet homme qui adorait sa nation soit en mesure de la faire évoluer au lieu de la niveler par le bas. Il préférait de loin l'évolution de son "peuple" que de le voir devenir de plus en plus épais. Épais dans le plus mince je dirais poliement. Je lui dis donc merci.
Mais bon, "Bernie", insatisfait du vote de confiance qu'il a eu, a décidé de quitter le navire. Il ne quittera pas le navire de la souveraineté mais bien celui de la politique.
Je ne peux que souhaité le retour d'un politicien rembli de charisme et de bonne volonté. Cet homme c'est André Boisclair. Mais bon, il est peut-être trop tôt pour le ramener dans l'arène. Peut-être devrions nous attendre quelque peu avant son retour. Laissé la place à un François Legault, un Jean-Pierre Charbonneau, cet ancien journaliste que je considère comme un être à part ou à un Gilles Duceppe qui pourrait faire le saut en politique québécoise.
Nous verrons dans les prochains jours, dans les prochaines semaines ou dans les prochains mois même ce qui adviendra. Mais je ne peux que souhaité en tant que militant de l'avenue "centre gauchiste" québécoise, que nous assisterons enfin à un vrai changement.
Je ne pensais jamais parler politique ici dans ce blog, et je dois admettre que ça fait du bien.