Impact sur ma vie ...
Ce week end a eu tout un impact. Que ce soit le voyagement de vendredi, et les conversations qui m'ont fait énormément réfléchir sur ma propre personnalité ou encore, la piscine et la rencontre de samedi, ce Week-end a aidé à continuer à me faire comprendre des choses de la vie. C'est drôle de voir comment les choses se placent sans qu'on s'en rende compte.
C'est drôle de voir que la présence de certaines personnes par rapport à d'autres aide à stabiliser ma vie personnelle, professionnelle et sociale. C'est surtout drôle de voir l'impact dans ma vie familiale.
Hier, assis dans la Petite Italie, entouré de ma famille pour la fête de mon petit frère, je me suis perdu dans mes pensées. J'observais. J'observais ce que San avait réussi à faire en si peu de temps. Cette réussite, personne ne l'avait fait avant. Personne n'avait réussi à se faire aimer de par ma mère ... c'est con ... mais c'est vrai. Frédéric n'y est pas arrivé encore et nous nous connaissons depuis presque 10 ans. My a eu son amour une fois que nous nous sommes séparés. Mc (pas Hammer, l'autre) a reçu un accueil plutôt froid lorsque nous avons fait les présentations.
C'est peut-être la présence des Zhoms qui a adoucit les peurs de chacun et rapproché les deux camps. C'est peut-être la douceur et l'amour que moi et Sandra avons qui calme les deux parties. Je ne sais pas du tout.
Ce que je sais, c'est que hier, pour la journée anniversaire des 24 chandelles de non frère, je n'aurais vu personne d'autre m'accompagner.
Je pensais et je me disais que je n'aurais pas voulu personne de mon entourage ou de mes anciennes fréquentations à ce match de l'Impact ou j'ai pété ma coche de voir que mon frère n'arrivait pas et surtout de voir le visage si piteux de mon paternel qui attendait de l'autre coté de la clôture. Ce même match où la Heinekein coulait à flot et ou Biello m'a démontré qu'à 33 ans, il est encore possible de faire des miracles sur un terrain. Vivement mon retour avec un ballon rond aux pieds.
Pas voulu non plus partagé ces pâtes et ce vin avec une autre personne qu'elle. C'est sûrement les effluves de la boisson qui me monte encore au cerveau (note to self : Ne jamais faire la baston un dimanche soir, tu n'es plus jeune jeune :p) mais je déguste encore plus la vie et les plaisirs de cette dernière depuis le destin m'a accolé sa présence.
Pas voulu quelqu'un d'autre, dans cet appartement ou nous étions seuls à profiter des plaisirs qu'il nous était pas possible de profiter quelques heures plus tôt.
J'avais dans l'idée de parler du ballon rond, du soccer et de l'impact que ce sport a eu sur ma vie.
J'avais envie de parler du fait qu'il m'a sûrement appris à concentrer mes énergies percues en trop en me défonçant dans le sport au lieu de faire le pitre dans la rue.
J'avais envie de revenir sur le peu de choses que j'ai dit hier (Non, Do, ce n'est pas une fenêtre fermée ... mais une réflexion non digérée encore) et parler de ce voisin que j'ai revu et de tous les souvenirs qu'il m'a fait remonté. De le voir avec sa fille alors que moi j'étais accompagné du plus vieux des Zhoms. De voir l'évolution que chacun avons réussi à avoir chacun de son côté.
Mais j'ai plutôt laissé mes doigts aller. Ce sont eux qui ont décidé de s'ouvrir ainsi et d'expliquer à quel point je ne voudrais personne d'autre qu'elle dans mon existence. Elle me comble. Elle réussi à calmer certaines ardeurs et à en alimenter d'autres pour me rendre plus stable et plus intenses.
Elle m'aime comme je l'aime. Je lui fais partager mes passions sportives et cet hiver, j'aurai le privilège de partager les siennes.
Les nuages sont parfois présents, la vie n'est jamais facile surtout quand j'y mets mon petit grain de sel, mais je n’ai jamais été aussi bien.
Je m'amuse, je suis curieux, je redécouvre un Carl qui a envie d'apprendre, d'approfondir et d'acquérir de nouvelles connaissances de par l'expérimentation.
Je revis, alors que j'étais cliniquement mort depuis une trop longue période.
Je suis encore saoul, mal de tête du lendemain de veille, mais je suis heureux.
Merci à ma famille pour hier, merci tante Li pour ton magnifique commentaire. Merci Cle d'être qui tu es ...
La journée s'annonçait mal et a finalement repris du poil de la bête. Je suis épuisé, mort, pu de force, mais j'ai le sourire ...
Et j'ai hâte de voir les Zhoms ... chérie, on part quand? :p
C'est drôle de voir que la présence de certaines personnes par rapport à d'autres aide à stabiliser ma vie personnelle, professionnelle et sociale. C'est surtout drôle de voir l'impact dans ma vie familiale.
Hier, assis dans la Petite Italie, entouré de ma famille pour la fête de mon petit frère, je me suis perdu dans mes pensées. J'observais. J'observais ce que San avait réussi à faire en si peu de temps. Cette réussite, personne ne l'avait fait avant. Personne n'avait réussi à se faire aimer de par ma mère ... c'est con ... mais c'est vrai. Frédéric n'y est pas arrivé encore et nous nous connaissons depuis presque 10 ans. My a eu son amour une fois que nous nous sommes séparés. Mc (pas Hammer, l'autre) a reçu un accueil plutôt froid lorsque nous avons fait les présentations.
C'est peut-être la présence des Zhoms qui a adoucit les peurs de chacun et rapproché les deux camps. C'est peut-être la douceur et l'amour que moi et Sandra avons qui calme les deux parties. Je ne sais pas du tout.
Ce que je sais, c'est que hier, pour la journée anniversaire des 24 chandelles de non frère, je n'aurais vu personne d'autre m'accompagner.
Je pensais et je me disais que je n'aurais pas voulu personne de mon entourage ou de mes anciennes fréquentations à ce match de l'Impact ou j'ai pété ma coche de voir que mon frère n'arrivait pas et surtout de voir le visage si piteux de mon paternel qui attendait de l'autre coté de la clôture. Ce même match où la Heinekein coulait à flot et ou Biello m'a démontré qu'à 33 ans, il est encore possible de faire des miracles sur un terrain. Vivement mon retour avec un ballon rond aux pieds.
Pas voulu non plus partagé ces pâtes et ce vin avec une autre personne qu'elle. C'est sûrement les effluves de la boisson qui me monte encore au cerveau (note to self : Ne jamais faire la baston un dimanche soir, tu n'es plus jeune jeune :p) mais je déguste encore plus la vie et les plaisirs de cette dernière depuis le destin m'a accolé sa présence.
Pas voulu quelqu'un d'autre, dans cet appartement ou nous étions seuls à profiter des plaisirs qu'il nous était pas possible de profiter quelques heures plus tôt.
J'avais dans l'idée de parler du ballon rond, du soccer et de l'impact que ce sport a eu sur ma vie.
J'avais envie de parler du fait qu'il m'a sûrement appris à concentrer mes énergies percues en trop en me défonçant dans le sport au lieu de faire le pitre dans la rue.
J'avais envie de revenir sur le peu de choses que j'ai dit hier (Non, Do, ce n'est pas une fenêtre fermée ... mais une réflexion non digérée encore) et parler de ce voisin que j'ai revu et de tous les souvenirs qu'il m'a fait remonté. De le voir avec sa fille alors que moi j'étais accompagné du plus vieux des Zhoms. De voir l'évolution que chacun avons réussi à avoir chacun de son côté.
Mais j'ai plutôt laissé mes doigts aller. Ce sont eux qui ont décidé de s'ouvrir ainsi et d'expliquer à quel point je ne voudrais personne d'autre qu'elle dans mon existence. Elle me comble. Elle réussi à calmer certaines ardeurs et à en alimenter d'autres pour me rendre plus stable et plus intenses.
Elle m'aime comme je l'aime. Je lui fais partager mes passions sportives et cet hiver, j'aurai le privilège de partager les siennes.
Les nuages sont parfois présents, la vie n'est jamais facile surtout quand j'y mets mon petit grain de sel, mais je n’ai jamais été aussi bien.
Je m'amuse, je suis curieux, je redécouvre un Carl qui a envie d'apprendre, d'approfondir et d'acquérir de nouvelles connaissances de par l'expérimentation.
Je revis, alors que j'étais cliniquement mort depuis une trop longue période.
Je suis encore saoul, mal de tête du lendemain de veille, mais je suis heureux.
Merci à ma famille pour hier, merci tante Li pour ton magnifique commentaire. Merci Cle d'être qui tu es ...
La journée s'annonçait mal et a finalement repris du poil de la bête. Je suis épuisé, mort, pu de force, mais j'ai le sourire ...
Et j'ai hâte de voir les Zhoms ... chérie, on part quand? :p
Magnifique texte. San, c'est un ange qui a été mis sur ta route. Après avoir connu l'enfer, tu le mérites ce repos!
Publié par Pitounsky | 2:18 p.m.