Encore des décisions ...
J'ai décidé d'écrire moins, de toute façon, je ne passe presque plus de temps devant l'ordi. Je ne ressens plus le besoin que j'avais d'écrire à tous les jours. On m'avait demandé combien de temps ça allait durer et je pensais bien que j'écrirais toujours autant et souvent qu'à mes débuts, mais j'avais tord, car je sais admettre quand j'ai tord.
De passer moins de temps devant ma machine me fais sourire, me rend heureux. Je passe déjà assez de temps au boulot, je ne vois pas pourquoi j'en passerais plus rendu à la maison.
Bien sur, je délaisse plusieurs amis en n'allant plus aussi souvent sur MSN ou en répondant de façon moins fréquente à mes courriels. Mais, je sais qu'ils savent que je suis là et une fois de temps en temps, je passe faire un tour afin de les saluer.
J'ai pris le temps de donner de l'attention à des choses qui avaient été écrites la semaine dernière et je n'aurais pas du. Je me sens dépeint comme un monstre et j'ai peur que ce monstre soit encore présent en moi et nuise ou même détruise la vie de ceux que j'aime. De ne pas avoir le temps de m'y attarder la semaine dernière a fait passé la pilule plus facilement, ça ne peut que renforcer mon idée de passer moins de temps devant l'ordi.
Mais bon, d'en parler c'est de lui accorder de l'importance alors restons en là.
J'ai aussi un tout petit peu de difficulté avec le recul que je me donne par rapport à ma vie. Mes textes ici sont teintés de distance et de grossissement. Lorsque je dis l'expression suivante : "toute la blogsphère québécoise", je ne fais qu'essayer de mettre une certaine distance entre mes textes et ma vie, me donner le recul nécessaire pour ne pas montrer ma vulnérabilité plus que je ne la montre en ce moment. C'est aussi pour cette raison que je tente de dire les choses de façon claire et froide. C'est ma forme de protection.
Aujourd'hui, j'avais envie de parler de Montréal 2016, j'avais envie de sortir de moi, du placotage sur Carl, de pouvoir parler de choses qui me passionnent, de partager mes opinions. Je n'y suis pas arrivé puisque vous lisez un texte beaucoup plus prenant et beaucoup plus sombre. Je vais donc me lancer des défis et tenter de changer la tangente de mes écrits.
Revenir sur les spectacles que je vois, ou j'ai vu ... sur ce que j'écoute, sur l'actualité. Faire de la recherche et un travail de rédaction plus poussé. Ou, je ne ferai rien ... j'abandonnerai ou je laisserai les choses tel qu'elles sont.
C'est ce que nous verrons!
They had what they wanted ... they won, I lost ... ... ... ... ... for now!
De passer moins de temps devant ma machine me fais sourire, me rend heureux. Je passe déjà assez de temps au boulot, je ne vois pas pourquoi j'en passerais plus rendu à la maison.
Bien sur, je délaisse plusieurs amis en n'allant plus aussi souvent sur MSN ou en répondant de façon moins fréquente à mes courriels. Mais, je sais qu'ils savent que je suis là et une fois de temps en temps, je passe faire un tour afin de les saluer.
J'ai pris le temps de donner de l'attention à des choses qui avaient été écrites la semaine dernière et je n'aurais pas du. Je me sens dépeint comme un monstre et j'ai peur que ce monstre soit encore présent en moi et nuise ou même détruise la vie de ceux que j'aime. De ne pas avoir le temps de m'y attarder la semaine dernière a fait passé la pilule plus facilement, ça ne peut que renforcer mon idée de passer moins de temps devant l'ordi.
Mais bon, d'en parler c'est de lui accorder de l'importance alors restons en là.
J'ai aussi un tout petit peu de difficulté avec le recul que je me donne par rapport à ma vie. Mes textes ici sont teintés de distance et de grossissement. Lorsque je dis l'expression suivante : "toute la blogsphère québécoise", je ne fais qu'essayer de mettre une certaine distance entre mes textes et ma vie, me donner le recul nécessaire pour ne pas montrer ma vulnérabilité plus que je ne la montre en ce moment. C'est aussi pour cette raison que je tente de dire les choses de façon claire et froide. C'est ma forme de protection.
Aujourd'hui, j'avais envie de parler de Montréal 2016, j'avais envie de sortir de moi, du placotage sur Carl, de pouvoir parler de choses qui me passionnent, de partager mes opinions. Je n'y suis pas arrivé puisque vous lisez un texte beaucoup plus prenant et beaucoup plus sombre. Je vais donc me lancer des défis et tenter de changer la tangente de mes écrits.
Revenir sur les spectacles que je vois, ou j'ai vu ... sur ce que j'écoute, sur l'actualité. Faire de la recherche et un travail de rédaction plus poussé. Ou, je ne ferai rien ... j'abandonnerai ou je laisserai les choses tel qu'elles sont.
C'est ce que nous verrons!
They had what they wanted ... they won, I lost ... ... ... ... ... for now!
J'ai juste un mot: écrit... c'est ton blog, ta vie, met toi pas autant de pression avec une niaiserie pareil... Profite plutôt de ce qui t'arrive pis partage-le quand tu veux, comme tu veux...
Publié par Anonyme | 3:28 p.m.
t'es rien qu'un osti de gros twit, crosseur, manipulateur qui se pogne le beigne et joue à la victime en cherchant la pitié... get a life moron !
Publié par Anonyme | 4:46 p.m.
Merci monsieur Anonyme qui lit mon blogue en cliquant sur celui de http://deau.blogspot.com/...
malheureusement, tu ne le savais peut-être pas, mais l'anonymat n'existe pas vraiment sur le net!
Je peux donc dire que tu es
un client de sympatico.ca et que ton adresse ip est 67.68.172.#
et que tu utilises Windows 98 avec Explorer 6.
La prochaine fois, assume donc tes écrits et si tu aimes pas ce que j'écris, cesse de me lire.
Merci!
Publié par Carl | 4:53 p.m.