Prendre le temps ...
Plein d’idée, plein de temps, tout se bouscule dans mon esprit. Difficile d’être concis et manque de temps pour le faire aussi. On se lance donc dans un cafouillis d’idée qui peut avoir l’air d’une réflexion sans queue ni tête. C’est malheureusement un reflet de mon week end loin des projecteurs. Un week end bourré d’émotions et de plaisir. Un week end qui m’a fait du bien. Il était temps.
Ce midi, j'ai reçu un courriel qui me demandait ce qui se passait. Après mon explication, on m'a suggéré de prendre mon temps.
C'est ce que j'ai fait ce week end. J'ai pris le temps! Le temps de lire ... de m'instruire (saviez vous que le depo-provera pourrait être néfaste à la santé des femmes ... pas moi en tout cas :p) ... le temps de connaître les zhoms et finalement, pris le temps de discuter et de prendre des décisions.
Je quitterai donc mon quartier afin d'aller plus à l'est et ce dès septembre.
Je m'en vais vivre avec ma douce ... cette décision s'est concrétisée avec des achats éhontés dans des grandes surfaces de la rive sud de Montréal afin d'améliorer quelque peu notre destin :D.
J'ai aussi pris le temps de m'éloigner et de relaxer. Je ne suis pas le premier à le dire. La blogsphère québécoise est remplie de jalousie et de conflits sans queue ni tête. Et ce week end n'a pas fait exception. Vivement la fin de toutes ces hostilités.
J'ai pris le temps de danser ... d'ailleurs, je me suis fait aller sur les planches de la tulipe vendredi et oh surprise samedi (merci chérie pour l'idée ... c'était génial).
Je me sentais tel un roi. Gâté à souhait et en présence de celle que j'aime, il m'était difficile de surpasser tout ça. Pourtant, la fin de ma soirée de samedi a réussi à surpassé vendredi. Combattre la fatigue avec un désir de danser, de se dépasser et de repousser la limite. Quel plaisir pour l'épicurien que je suis.
Bien sur, il y eu quelques ombres au tableau. (C'est chiant pas trouver ce que tu cherches quand tu as envie de dépenser :p) Mais de tous ces moments plus moches, le plus difficile fut le petit moment de ce matin. Le plus vieux des zhoms à été victime d'un commentaire désobligeant à la garderie. ("Ah non pas lui, on l'aime pas, on ne jouera pas avec lui" de dire deux gamines plus vieilles que lui.) J'étais à ses cotés lorsque le commentaire a été dit. Et malgré que je ne sois pas un père de famille, j'ai eu le coeur gros. C'est que voyez vous, je n'ai jamais eu la chance de jouir d'une popularité extrême.
J'ai longtemps cherché à l'avoir pour finir par comprendre que ça ne donnait rien. J'ai d'ailleurs souvent eu des discussions à ce sujet avec des gens qui disaient eux avoir trop souffert de la popularité. Sans vouloir revenir sur le sujet, je ne crois pas qu'il soit possible d'être trop populaire ou d'en souffrir. M'enfin!
Alors de voir cet enfant rejeté de la sorte m'a re-brassé plein de souvenirs et de pensées négatives. Sandra y est même allé d'un : "ce sera pas ma semaine cette semaine". Mais à bien y penser, je ne peux pas laisser ce léger détail ralentir la cadence que je me suis donné. Le temps que j'ai pris m'a permis d'augmenter ma cadence, de travailler sur les détails qui ne faisaient pas mon affaire et de continuer dans cette voie de bonheur.
Je suis tellement loin d'ou j'étais cet hiver. C'est fou. C'est grâce à certaines personnes et je ne les en remercierai jamais assez. Surtout que certains d'entre eux y sont allé d'une autre grande générosité ce week end, alors merci les n'amis :D
Ce midi, j'ai reçu un courriel qui me demandait ce qui se passait. Après mon explication, on m'a suggéré de prendre mon temps.
C'est ce que j'ai fait ce week end. J'ai pris le temps! Le temps de lire ... de m'instruire (saviez vous que le depo-provera pourrait être néfaste à la santé des femmes ... pas moi en tout cas :p) ... le temps de connaître les zhoms et finalement, pris le temps de discuter et de prendre des décisions.
Je quitterai donc mon quartier afin d'aller plus à l'est et ce dès septembre.
Je m'en vais vivre avec ma douce ... cette décision s'est concrétisée avec des achats éhontés dans des grandes surfaces de la rive sud de Montréal afin d'améliorer quelque peu notre destin :D.
J'ai aussi pris le temps de m'éloigner et de relaxer. Je ne suis pas le premier à le dire. La blogsphère québécoise est remplie de jalousie et de conflits sans queue ni tête. Et ce week end n'a pas fait exception. Vivement la fin de toutes ces hostilités.
J'ai pris le temps de danser ... d'ailleurs, je me suis fait aller sur les planches de la tulipe vendredi et oh surprise samedi (merci chérie pour l'idée ... c'était génial).
Je me sentais tel un roi. Gâté à souhait et en présence de celle que j'aime, il m'était difficile de surpasser tout ça. Pourtant, la fin de ma soirée de samedi a réussi à surpassé vendredi. Combattre la fatigue avec un désir de danser, de se dépasser et de repousser la limite. Quel plaisir pour l'épicurien que je suis.
Bien sur, il y eu quelques ombres au tableau. (C'est chiant pas trouver ce que tu cherches quand tu as envie de dépenser :p) Mais de tous ces moments plus moches, le plus difficile fut le petit moment de ce matin. Le plus vieux des zhoms à été victime d'un commentaire désobligeant à la garderie. ("Ah non pas lui, on l'aime pas, on ne jouera pas avec lui" de dire deux gamines plus vieilles que lui.) J'étais à ses cotés lorsque le commentaire a été dit. Et malgré que je ne sois pas un père de famille, j'ai eu le coeur gros. C'est que voyez vous, je n'ai jamais eu la chance de jouir d'une popularité extrême.
J'ai longtemps cherché à l'avoir pour finir par comprendre que ça ne donnait rien. J'ai d'ailleurs souvent eu des discussions à ce sujet avec des gens qui disaient eux avoir trop souffert de la popularité. Sans vouloir revenir sur le sujet, je ne crois pas qu'il soit possible d'être trop populaire ou d'en souffrir. M'enfin!
Alors de voir cet enfant rejeté de la sorte m'a re-brassé plein de souvenirs et de pensées négatives. Sandra y est même allé d'un : "ce sera pas ma semaine cette semaine". Mais à bien y penser, je ne peux pas laisser ce léger détail ralentir la cadence que je me suis donné. Le temps que j'ai pris m'a permis d'augmenter ma cadence, de travailler sur les détails qui ne faisaient pas mon affaire et de continuer dans cette voie de bonheur.
Je suis tellement loin d'ou j'étais cet hiver. C'est fou. C'est grâce à certaines personnes et je ne les en remercierai jamais assez. Surtout que certains d'entre eux y sont allé d'une autre grande générosité ce week end, alors merci les n'amis :D
on dit qu'il n'y a rien de plus vrai qu'un enfant....
Malheureusement, on dit aussi qu'il n'y a rien de plus méchant parfois....
Publié par Lydz | 10:06 p.m.
Je ne suis pas le premier à le dire. La blogsphère québécoise est remplie de jalousie et de conflits sans queue ni tête.
Encore une généralisation comme je les aimes! ;)
Juste un petit commentaire amical, prends donc le temps de venir faire un tour un bon mercredi à la cabane, pour les Yulblogs, j'te paye une bière! DLVV (dans la vraie vie), c'est beaucoup moins pire que dans ta tête...
Il y a plus de 500 blogs sur Yulblogs.org et ce n'est pas la moitié des blogs de Montréal, loin du quart de ceux au Québec... quand tu dis "la blogosphère Québécoise", tu veux dire quoi au juste? Je pense que ta vision est pas mal kantocentrique, les blogosphère québécoise c'est plus que ce que tu peux lire en une semaine!
Alors là, pour préciser, c'est juste un petit commentaire "tongue-in-cheek", hein? Ça se peux tu ça? Pas de grand conflit ni rien de tout ça! En tout cas, c'était l'intention! :)
Publié par Sylvain Carle | 10:28 p.m.
Bien gentil à toi l'invitation, mais entre tes beaux yeux et ceux de Chris Martin, je préfère et de loin ceux de monsieur martin ...
Désolé peut-être un autre mois !
Publié par Carl | 10:33 p.m.
Pour ma part, j'aurais généralisé encore plus sauvagement en raturant "québécoise" et en ne parlant que de la blogsphère tout court.
Je fréquente assiduement depuis un an une communauté bloglandienne européenne ayant des ramifications internationnales et il s'y produit EXACTEMENT la même chose.
La susceptibilité, la frustration, la jalousie (et tout le reste qu'il n'est pas nécessaire de nommer) sont des états d'âme humains. Tant que les blog seront écrits par des humains, cela se produira.
C'est loin d'être le propre de la clique Plato-ienne ...
Publié par Do | 7:15 a.m.
C'est triste malheureusement que ce soit ce court extrait qui retienne l'attention.
C'est vraiment pas la priorité dans mon texte.
Publié par Carl | 9:24 a.m.