Tolérance ...
Hier, j'ai passé une journée excellente. Que ce soit d'avoir convaincu pitounsky de se mettre au Mac, ou d'avoir fait une folie en soirée, tout était parfait. Mais pas aussi parfait que la soirée cinéma.
C'est My qui avait décidé du film, tant mieux puisque PT m'en avait parlé et m'avait déjà convaincu qu'il était primordial que je vois ce film.
Et laissez moi vous dire que je n'ai pas été déçu. Alors que l'on peut constater des déceptions lorsque l'on assiste à une représentation de Star Wars, aucunes n’est possible lorsqu'on sort du dernier film de Paul Haggis, le créateur de « million dollar baby» (je ne l'ai pas vu encore mais je compte bien le voir). La musique est parfaite, l'histoire bien ficelée, les émotions nous transpercent l'existence.
Crash raconte les destins entrecroisés de huit personnages dans les rues de Los Angeles, 24 heures avant qu'on ne retrouve le corps d'un homme sauvagement assassiné. C'est du moins l'explication que nous donne Google.
Mais Crash raconte beaucoup plus que ça. Crash parle de tolérance, d'acceptation des différences. Crash fait réfléchir, fait vivre. Crash fait sourire, mais surtout pleurer.
Crash m'a aidé à me questionner sur mes propres tolérances. Depuis mon agression, je dois avouer avoir plus de difficultés avec certaines personnes ou groupes de personnes. Je mets souvent tous les oeufs dans le même panier. C'est triste mais c'est ainsi.
Je me dois de me tenir debout et de ne pas laisser aller mes propres peurs et mes propres inquiétudes.
Je me dois de ne pas mettre tout le monde dans le même bateau. De respecter les gens, les êtres et les différences.
C'est peut-être important pour les autres, mais ce n'est pas pour ça que je le fais.
Je le fais pour moi, afin d'être un meilleur être humain.
Et c'est ça qui compte.
C'est My qui avait décidé du film, tant mieux puisque PT m'en avait parlé et m'avait déjà convaincu qu'il était primordial que je vois ce film.
Et laissez moi vous dire que je n'ai pas été déçu. Alors que l'on peut constater des déceptions lorsque l'on assiste à une représentation de Star Wars, aucunes n’est possible lorsqu'on sort du dernier film de Paul Haggis, le créateur de « million dollar baby» (je ne l'ai pas vu encore mais je compte bien le voir). La musique est parfaite, l'histoire bien ficelée, les émotions nous transpercent l'existence.
Crash raconte les destins entrecroisés de huit personnages dans les rues de Los Angeles, 24 heures avant qu'on ne retrouve le corps d'un homme sauvagement assassiné. C'est du moins l'explication que nous donne Google.
Mais Crash raconte beaucoup plus que ça. Crash parle de tolérance, d'acceptation des différences. Crash fait réfléchir, fait vivre. Crash fait sourire, mais surtout pleurer.
Crash m'a aidé à me questionner sur mes propres tolérances. Depuis mon agression, je dois avouer avoir plus de difficultés avec certaines personnes ou groupes de personnes. Je mets souvent tous les oeufs dans le même panier. C'est triste mais c'est ainsi.
Je me dois de me tenir debout et de ne pas laisser aller mes propres peurs et mes propres inquiétudes.
Je me dois de ne pas mettre tout le monde dans le même bateau. De respecter les gens, les êtres et les différences.
C'est peut-être important pour les autres, mais ce n'est pas pour ça que je le fais.
Je le fais pour moi, afin d'être un meilleur être humain.
Et c'est ça qui compte.