Survivre ...
« Je ne vis pas ... je survis » ! Ces paroles ne sont pas de moi mais d'un ancien collègue étudiant durant ma courte période en droit. Il m'expliquait travailler dans un job qui ressemble à la mienne pour une autre division de la compagnie pour laquelle je travaille. Pourtant, dans les mêmes conditions, il m'est impossible de dire que je survis. Je vis et ai toujours vécu ma vie à fond. Oui je me plains. Je l'avoue, je l'admets ... mais je sais et j'ai toujours su que j'étais chanceux. Encore aujourd'hui, la vie me sourit. Alors que je m'attendais à avoir un succès en affaire pour le mois de mai, c'est avec ma vie sentimentale que j'ai eue de la chance encore une fois.
J'ai trouvé une femme sensationnelle qui possède une patience d'ange. Car je n'ai pas tout ce qu'il faut en ce moment pour faire vivre un comte de fée à quelqu'un. Il faut être patient et c'est ce qu'elle est.
Mai a donc signifié la fin de certaines "dépendances" et le début d'une volonté de libération. Mai à signifié aussi le début d’une nouvelle période qui risque de s’étirer à d’autres sphères de ma vie.
Je ne peux que remercier ce blogue pour cette évolution et ces prises de conscience. Écrire ici bas me donne la force d'affronter les monstres qui sont en moi en les exposant, en agencent des lettres et des virgules parsemées d'espaces et de points.
Juin s'annonce donc prometteur. Je ne peux pas trop espérer de peur d’être déçu, mais « ca sembre bon ». Bien que commençant dans le chaos total au boulot, il est annonciateur de bonne nouvelle vendredi et risque d'être extrêmement plaisant la semaine prochaine avec la présence d'un mek du nord.
Un post idéal que celui ci. Un post qui part dans une direction et fini à l'opposé. Mais c'est ce que j'aime, c'est ainsi que je suis fait. La seule chose que je n'aime pas en ce moment c'est le fait que je suis heureux, que j'ai tout ce qu'il me faut ... mais putain je suis incapable de réussir une tâche extrêmement simpliste.
J'ai trouvé une femme sensationnelle qui possède une patience d'ange. Car je n'ai pas tout ce qu'il faut en ce moment pour faire vivre un comte de fée à quelqu'un. Il faut être patient et c'est ce qu'elle est.
Mai a donc signifié la fin de certaines "dépendances" et le début d'une volonté de libération. Mai à signifié aussi le début d’une nouvelle période qui risque de s’étirer à d’autres sphères de ma vie.
Je ne peux que remercier ce blogue pour cette évolution et ces prises de conscience. Écrire ici bas me donne la force d'affronter les monstres qui sont en moi en les exposant, en agencent des lettres et des virgules parsemées d'espaces et de points.
Juin s'annonce donc prometteur. Je ne peux pas trop espérer de peur d’être déçu, mais « ca sembre bon ». Bien que commençant dans le chaos total au boulot, il est annonciateur de bonne nouvelle vendredi et risque d'être extrêmement plaisant la semaine prochaine avec la présence d'un mek du nord.
Un post idéal que celui ci. Un post qui part dans une direction et fini à l'opposé. Mais c'est ce que j'aime, c'est ainsi que je suis fait. La seule chose que je n'aime pas en ce moment c'est le fait que je suis heureux, que j'ai tout ce qu'il me faut ... mais putain je suis incapable de réussir une tâche extrêmement simpliste.
Juin : Libération ? ;o)
Publié par Anonyme | 10:42 a.m.
Je me le souhaite fortement.
Un mois à la fois... doux jésuuuuss :D
Publié par Carl | 10:46 a.m.