Des envies d'écrire ...
Des fois, j'ai envie d'écrire des choses ... de parler à des gens, que ce soit en disant des choses gentilles ou des choses plus dures.
Des fois, je me laisse aller, j'écris des paragraphes complets. Des pages complètes même. Des courriels qui sont bon, dont je suis fier et quand vient le temps de l'envoyer, je ferme la fenêtre. Je fais ça parce que je sais que ça ne me donne rien. Mon patron m'a dit un jour qu'il fallait choisir ses combats afin de ne pas dépenser son énergie là où ça ne vaut pas la peine. Il à raison. Celui ou celle qui me traitera de lâche de ne pas envoyer ces courriels, ne ferait que de lui donner raison et de me donner raison par la même occasion. C’est ma décision, ce sont mes choix et c’est à mon avis quelque chose que l’on doit respecter.
Hier, j'en ai jasé avec mon copain de bière. Il me trouve bon de résister à cette envie d'appuyer sur le bouton "send".
Moi aussi, je ne me trouve pas pire. Sauf hier soir, où je n'ai pas résisté. J'avais pourtant écrit deux choses avant celle qui m'a fait appuyer sur "send" et les deux fois, j'avais réussi à fermer la fenêtre. La troisième fois cependant, j'ai flanché et ce matin je ne suis déçu de ma faiblesse. Tout ce que ça m’a apporté c’est me prouver que j'avais raison. Ce "courriel" n'a absolument rien donné, n'a rien changé, rien modifié à ma vie ou à ma perception de celle-ci.
J'avais écrit un long courriel ce matin. Un courriel qui finalement n'aurait encore là rien donné. Cependant, j'ai résisté. J'ai fermé la fenêtre et j'ai écrit autre chose. J'ai suivi les conseils que l'on m'a donnés hier soir. Je ne peux que remercier celui qui m'a donné ce précieux conseil. Merci pour hier soir, merci pour le conseil, merci pour les autres explications aussi. La prochaine fois, c'est moi qui paie la bière!
Des fois, je me laisse aller, j'écris des paragraphes complets. Des pages complètes même. Des courriels qui sont bon, dont je suis fier et quand vient le temps de l'envoyer, je ferme la fenêtre. Je fais ça parce que je sais que ça ne me donne rien. Mon patron m'a dit un jour qu'il fallait choisir ses combats afin de ne pas dépenser son énergie là où ça ne vaut pas la peine. Il à raison. Celui ou celle qui me traitera de lâche de ne pas envoyer ces courriels, ne ferait que de lui donner raison et de me donner raison par la même occasion. C’est ma décision, ce sont mes choix et c’est à mon avis quelque chose que l’on doit respecter.
Hier, j'en ai jasé avec mon copain de bière. Il me trouve bon de résister à cette envie d'appuyer sur le bouton "send".
Moi aussi, je ne me trouve pas pire. Sauf hier soir, où je n'ai pas résisté. J'avais pourtant écrit deux choses avant celle qui m'a fait appuyer sur "send" et les deux fois, j'avais réussi à fermer la fenêtre. La troisième fois cependant, j'ai flanché et ce matin je ne suis déçu de ma faiblesse. Tout ce que ça m’a apporté c’est me prouver que j'avais raison. Ce "courriel" n'a absolument rien donné, n'a rien changé, rien modifié à ma vie ou à ma perception de celle-ci.
J'avais écrit un long courriel ce matin. Un courriel qui finalement n'aurait encore là rien donné. Cependant, j'ai résisté. J'ai fermé la fenêtre et j'ai écrit autre chose. J'ai suivi les conseils que l'on m'a donnés hier soir. Je ne peux que remercier celui qui m'a donné ce précieux conseil. Merci pour hier soir, merci pour le conseil, merci pour les autres explications aussi. La prochaine fois, c'est moi qui paie la bière!