Il s’appelle Jonas et c’est lui que j’ai rencontré ce matin.
Je me demandais bien à quel genre d’entrevue j’aurais droit. Les gens que je connais qui sont encore dans le métier m’avaient avertis qu’il n’était pas un facile.
Mais bon. J’aime ça les entrevues avec des artistes difficiles.
Lors de son apparition dans les studios, il a rapidement mis en doute ma bonne foi. Assez que j’ai du m’exprimer à ma collègue. Fallait que j’explose.
Mais cette mauvaise foi, ou mauvaise vibe à complètement disparu lorsque nous nous sommes assis et que l’entrevue a débuté.
En début d’entrevue l’homme m’avait avisé qu’il désirait être authentique dans la vie. Et je crois que c’est ce que nous avons réussi à faire.
Au lieu du « Sex, Drugs and Rock’n’roll, on à eu droit à une entrevue passionnante, intense et vraie. Des déclarations qui venaient du cœur et la découverte d’un rocker qui a su attirer mon attention et mon respect.
J’ai souvent fait des entrevues dans ma vie, mais celle là était spéciale. J’avais rarement réussi à monter une entrevue de cette façon. Plus l’entrevue allait, plus nous allions en profondeur dans les réponses de l’artiste et aussi dans mes questions.
Lorsque nous avons terminé l’entrevue, qui à sûrement durer plus d’une demie heure, le relationniste de l’artiste en question a comparé mes méthodes à une visite chez le psy!
Avoir su, j’aurais chargé à l’heure au lieu de chargé à la visite.
L’entrevue devrait être en ligne vendredi, j’espère que le montage final sera à la hauteur du produit auquel j’ai participé aujourd’hui dans un des studios de TVA.
Merci Jonas, tu as su gagner mon respect … aujourd'hui, je ne peux que te souhaiter de ne pas soufrir de cette maladie dont souffre tous les artistes : le second album et la hasbeen-mania!
Et qui sait, dans une dizaine d'année peut-être t'embaucherais-je comme plombier.
Je me demandais bien à quel genre d’entrevue j’aurais droit. Les gens que je connais qui sont encore dans le métier m’avaient avertis qu’il n’était pas un facile.
Mais bon. J’aime ça les entrevues avec des artistes difficiles.
Lors de son apparition dans les studios, il a rapidement mis en doute ma bonne foi. Assez que j’ai du m’exprimer à ma collègue. Fallait que j’explose.
Mais cette mauvaise foi, ou mauvaise vibe à complètement disparu lorsque nous nous sommes assis et que l’entrevue a débuté.
En début d’entrevue l’homme m’avait avisé qu’il désirait être authentique dans la vie. Et je crois que c’est ce que nous avons réussi à faire.
Au lieu du « Sex, Drugs and Rock’n’roll, on à eu droit à une entrevue passionnante, intense et vraie. Des déclarations qui venaient du cœur et la découverte d’un rocker qui a su attirer mon attention et mon respect.
J’ai souvent fait des entrevues dans ma vie, mais celle là était spéciale. J’avais rarement réussi à monter une entrevue de cette façon. Plus l’entrevue allait, plus nous allions en profondeur dans les réponses de l’artiste et aussi dans mes questions.
Lorsque nous avons terminé l’entrevue, qui à sûrement durer plus d’une demie heure, le relationniste de l’artiste en question a comparé mes méthodes à une visite chez le psy!
Avoir su, j’aurais chargé à l’heure au lieu de chargé à la visite.
L’entrevue devrait être en ligne vendredi, j’espère que le montage final sera à la hauteur du produit auquel j’ai participé aujourd’hui dans un des studios de TVA.
Merci Jonas, tu as su gagner mon respect … aujourd'hui, je ne peux que te souhaiter de ne pas soufrir de cette maladie dont souffre tous les artistes : le second album et la hasbeen-mania!
Et qui sait, dans une dizaine d'année peut-être t'embaucherais-je comme plombier.