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25 août 2005 

Manque de temps

Je manque de temps pour m’exprimer ...

Manque de temps pour pouvoir dire tout ce que j’ai à dire, parler de ce que j’ai envie de parler. Pourtant, ce ne sont pas les sujets qui manquent. Que ce soit de parler des événements de la job, de l’amitié, des retrouvailles, des défis, du Champ Car qui est à Montréal en ce moment, de la véritable signification d’une équipe et du travail d’équipe ou du déménagement qui s’en vient à grand pas.

Mais si je décide de prendre un petit peu de temps pour écrire sur mon blog, c’est que je le fais pour parler de ma rencontre du week-end dernier.

Je le fais aussi pour mon désir et mon besoin d’écrire. Car c’est la raison pour laquelle j’ai débuté ce blog et c’est la raison pour laquelle je continue à écrire.

Mais comme je l’avais mentionné, il arrive parfois que des gens tombent sur votre désir d’écrire et de vous exprimer et souffrent de lire ce qui est écrit.

C’est un petit peu ce qui est arrivé à My lorsqu’elle est tombée sur mon blog pour la première fois la semaine dernière. Lorsqu’on fait le retour sur les archives d’un blog, on lit parfois des choses qui ne correspondent pas aux publications récentes. C’est un petit peu le cas avec mon blog. Ce dernier, à vu mes états d’âme sur ma relation avec Isabelle, mes opinions sur des bribes de mes anciennes relations dont MC (pas hammer, l’autre là) des quelques mentions sur My et des débuts de notre relation à moi et Sandra.

C’est My qui c’est mis à lire mon blog dernièrement et qui est restée sous le choc de ce qu’elle lisait.

C’est en partie pour expliquer cet outil de publication de pensées et pour régler certaines échardes qui faisaient encore parti de nos systèmes que nous avons mangé yaourts et bagels en un samedi matin ensoleillé.

C’est des retrouvailles tantôt amusante et tantôt triste qui se sont étalés sur quelques deux heures.

C’est des fous rires comme dans l’ancien temps et des tentatives d’explication de l’inexplicable.

C’est des affirmations incomprises et parfois difficiles à croire comme celle de l’impact d’une virtualité.

C’est un plaisir de retrouver mon amie … mon premier amour … celle qui a fait le petit homme que j’étais. Celle qui m’a appris à agencer les couleurs, qui m’a appris à avoir du goût (ou qui l’a plutôt raffiné), qui m’a fait rire et jouir de la vie. J’ai souvent parlé d’elle ici bas, souvent en la comparant à diverses personnes. C’est étrange ce besoin de comparer chez moi, c’est peut-être pour cacher des malaises, ou un manque d’assurance. Mais je crois plutôt que c’est parce que My fut la première … celle avec qui j’ai passé le plus de temps, celle qui m’a fait découvrir ce qu’était l’amour. Le premier amour devient donc un point de comparaison.

Ce week-end, j’ai compris que je devais cesser de comparer. J’ai aussi revu les points positifs, ceux que le temps fait parfois oublier ou se transforme puisque la mémoire oublie.

J’ai été content de la voir sourire, de revoir son charme et je lui souhaite tout le bonheur du monde.

J’ai omis de la remercier ici car je ne parle pas directement de cette période, mais j’espère que tu auras compris à quel point je te suis reconnaissant My. Si je suis l’homme que je suis aujourd’hui c’est parce que j’ai fait des essais et des erreurs. Tu as parfois subis plus d’erreur que d’autres choses. Je souhaite qu’un jour je sois en mesure de te montrer les essais positifs lors d’une amitié renouvelée.

J’ai franchement envie d’écrire … faudrait que je la fasse cette histoire de 3 et demi !

Je me demande si ce ne serait pas trop difficile et si les personnages ne seraient pas trop caractériels.

C’est un pensez y bien n’est-ce pas ?

P.S. C’est franchement sympathique de trouver une carte d’un copain dans le paquet de l’impact donné dans les uniprix.

J’espère que tu vas faire le club l’an prochain mon Nico !