De la bwesson!!!
Il en est passé de la boisson par mon système durant les trois derniers jours.
Pourquoi ?
Comme je le disais plutôt, je ne le sais pas. Sûrement un adon. Un désir de sortir, de ne pas rester dans ma bulle. La dernière fois que j'y étais j'avais fermée la porte trop hermétiquement et on y étouffait. Puisque c'est le printemps, j'ai décidé d'ouvrir les fenêtres et de passé le balais. Mais bon avant de le faire, je suis allé me divertir un peu. Ce fut donc une semaine de divertissement, une semaine ou j'ai laissé de coté l'ordinateur et j'ai pris la sage décision de me remettre à vivre. Une semaine ou je me suis amusé et où j'ai appris à me connaître encore un petit peu plus.
Cette semaine fut aussi une semaine de retour. De départ et de retour, devrais-je dire. Reste à savoir si les trains en partance de Carl et en direction de je n'en sais trop où sont des allés simples ou si il y aura voyage de retour.
Mais bon ce n'est pas là ma véritable préoccupation.
Ca fait trois fois que je recommence ce post ce soir. Ordi qui gèle, fuck de mes gros doigts sur le clavier, tout y passe.
Ca fait trois fois, mais c'est pour le mieux.
Ca me laisse le temps de réfléchir, de prendre moins de risque, de faire les choses correctement.
Vous ne serez malheureusement jamais en mesure de constater l'évolution de ma pensée.
Donc, comme je le disais, ce fut une semaine de sortie. Une semaine de musique, mais aussi et surtout d'alcool. Cette substance qui a envahi mes veines mercredi soir et qui circule encore ce soir. Accompagnés de François, j'ai fait le tour des brasseries jeudi soir et ce soir je suis allé voir un excellent show avec les deux Fred !
Je sors. Je sors de ma bulle et je m'ouvre personnellement. Car cette léthargie n'était que personnelle. J'étais moins patient certes mais elle n'affectait pas mon désir d'avoir des relations professionnelles.
Je voulais juste être présent. Être là le plus souvent possible. Et ce désir a fini par rendre la consommation d'air à l'intérieur de ma bulle difficile. Donc on aère. On rencontre du monde, on s'amuse et on profite de la vie.
Je lis dans votre visage que je suis en train de partir sur une dérape. Et je vous réponds que vous vous trompez.
Pas cette fois-ci. Je ne me sens pas mort, car ce sentiment là je le connais trop bien. Alors, je sais l'identifier.
Je ne suis pas non plus triste. J'ai une vie superbe et beaucoup de plaisir. Ces derniers temps, je me rends compte de la chance que j'ai d'avoir autant de plaisir et liberté dans la vie.
Bien sur, il y a des moments plus difficiles. La lecture des critiques du nouveau spectacle du cirque du soleil en est une.
La lecture du livre de Raymond Paquin sur la vie de Dédé Fortin aussi me rend les choses plus difficiles.
Je ne peux pas comprendre le manque de courage dans la vie. Je ne peux plus le comprendre. Je l’ai vécu et fait vivre longtemps et depuis quelques temps ça me trouble. Alors de lire les derniers moments d’un des artistes de notre communauté a qui je voue le plus grand respect me trouble, me font écrire des choses étranges. Mais bon, je suis ainsi fait :D
Je ris … je ris de bon cœur. Moi qui n’ai pas le courage de tout dire ce que j’aimerais dire. Qui est incapable de mettre de l’avant des désirs ou des idées que j’ai mais qui n’a pas le courage de mettre toutes les cartes sur tables et ce à tous les niveaux.
Tant mieux, je me fais rire. Je fais rire Fred aussi et l’autre Fred par la même occasion. Ca fait du bien ça.
Dans le fond, ce que je ne comprends pas c’est le pourquoi du suicide. Pourquoi se faire du mal volontairement. Je ne le sais pas. Je ne le sais pas plus que lorsque j’ai eu des idées suicidaires a quelque reprise dans la vie. Pourquoi perd on le sourire dans la vie et en nous à un point tel que nous pensons a la pire des situations comme seul et unique recours possible.
Ordinateur, qu’as-tu ce soir à vouloir m’empêcher d’y aller de mon processus créatif ?
Si tu voulais me faire chier c’est réussi :D
La j’ai un texte décousu mais vrai.
Un texte vrai et en parti franc. Car la franchise nous aide dans certaines situations
Merci Fred et Fred, Merci François pour la bière et les bons commentaires, merci harold et maude pour le divertissement et finalement je vais être imbu de moi-même et me dire merci. Merci de ne pas perdre l’artiste derrière le réfléchi.
Car oui je suis un artiste. Un artiste des mots qui un jour cessera d’être gêné quand il compare son travail au travail des autres.
Il comprendra l’étendue de son talent et n’en sera qu’extrêmement ravis.
Cet artistes hâte … car il a faim!
P.S. j'ai envie de vous parler de mon interlude musical mais, j'en perds des bouts. Mes forces ont disparues. Je vais aller profiter pour dormir quelque temps et peut-être que demain je continuerai mes aventures dans les débits de boisson québécois :D
Pourquoi ?
Comme je le disais plutôt, je ne le sais pas. Sûrement un adon. Un désir de sortir, de ne pas rester dans ma bulle. La dernière fois que j'y étais j'avais fermée la porte trop hermétiquement et on y étouffait. Puisque c'est le printemps, j'ai décidé d'ouvrir les fenêtres et de passé le balais. Mais bon avant de le faire, je suis allé me divertir un peu. Ce fut donc une semaine de divertissement, une semaine ou j'ai laissé de coté l'ordinateur et j'ai pris la sage décision de me remettre à vivre. Une semaine ou je me suis amusé et où j'ai appris à me connaître encore un petit peu plus.
Cette semaine fut aussi une semaine de retour. De départ et de retour, devrais-je dire. Reste à savoir si les trains en partance de Carl et en direction de je n'en sais trop où sont des allés simples ou si il y aura voyage de retour.
Mais bon ce n'est pas là ma véritable préoccupation.
Ca fait trois fois que je recommence ce post ce soir. Ordi qui gèle, fuck de mes gros doigts sur le clavier, tout y passe.
Ca fait trois fois, mais c'est pour le mieux.
Ca me laisse le temps de réfléchir, de prendre moins de risque, de faire les choses correctement.
Vous ne serez malheureusement jamais en mesure de constater l'évolution de ma pensée.
Donc, comme je le disais, ce fut une semaine de sortie. Une semaine de musique, mais aussi et surtout d'alcool. Cette substance qui a envahi mes veines mercredi soir et qui circule encore ce soir. Accompagnés de François, j'ai fait le tour des brasseries jeudi soir et ce soir je suis allé voir un excellent show avec les deux Fred !
Je sors. Je sors de ma bulle et je m'ouvre personnellement. Car cette léthargie n'était que personnelle. J'étais moins patient certes mais elle n'affectait pas mon désir d'avoir des relations professionnelles.
Je voulais juste être présent. Être là le plus souvent possible. Et ce désir a fini par rendre la consommation d'air à l'intérieur de ma bulle difficile. Donc on aère. On rencontre du monde, on s'amuse et on profite de la vie.
Je lis dans votre visage que je suis en train de partir sur une dérape. Et je vous réponds que vous vous trompez.
Pas cette fois-ci. Je ne me sens pas mort, car ce sentiment là je le connais trop bien. Alors, je sais l'identifier.
Je ne suis pas non plus triste. J'ai une vie superbe et beaucoup de plaisir. Ces derniers temps, je me rends compte de la chance que j'ai d'avoir autant de plaisir et liberté dans la vie.
Bien sur, il y a des moments plus difficiles. La lecture des critiques du nouveau spectacle du cirque du soleil en est une.
La lecture du livre de Raymond Paquin sur la vie de Dédé Fortin aussi me rend les choses plus difficiles.
Je ne peux pas comprendre le manque de courage dans la vie. Je ne peux plus le comprendre. Je l’ai vécu et fait vivre longtemps et depuis quelques temps ça me trouble. Alors de lire les derniers moments d’un des artistes de notre communauté a qui je voue le plus grand respect me trouble, me font écrire des choses étranges. Mais bon, je suis ainsi fait :D
Je ris … je ris de bon cœur. Moi qui n’ai pas le courage de tout dire ce que j’aimerais dire. Qui est incapable de mettre de l’avant des désirs ou des idées que j’ai mais qui n’a pas le courage de mettre toutes les cartes sur tables et ce à tous les niveaux.
Tant mieux, je me fais rire. Je fais rire Fred aussi et l’autre Fred par la même occasion. Ca fait du bien ça.
Dans le fond, ce que je ne comprends pas c’est le pourquoi du suicide. Pourquoi se faire du mal volontairement. Je ne le sais pas. Je ne le sais pas plus que lorsque j’ai eu des idées suicidaires a quelque reprise dans la vie. Pourquoi perd on le sourire dans la vie et en nous à un point tel que nous pensons a la pire des situations comme seul et unique recours possible.
Ordinateur, qu’as-tu ce soir à vouloir m’empêcher d’y aller de mon processus créatif ?
Si tu voulais me faire chier c’est réussi :D
La j’ai un texte décousu mais vrai.
Un texte vrai et en parti franc. Car la franchise nous aide dans certaines situations
Merci Fred et Fred, Merci François pour la bière et les bons commentaires, merci harold et maude pour le divertissement et finalement je vais être imbu de moi-même et me dire merci. Merci de ne pas perdre l’artiste derrière le réfléchi.
Car oui je suis un artiste. Un artiste des mots qui un jour cessera d’être gêné quand il compare son travail au travail des autres.
Il comprendra l’étendue de son talent et n’en sera qu’extrêmement ravis.
Cet artistes hâte … car il a faim!
P.S. j'ai envie de vous parler de mon interlude musical mais, j'en perds des bouts. Mes forces ont disparues. Je vais aller profiter pour dormir quelque temps et peut-être que demain je continuerai mes aventures dans les débits de boisson québécois :D