Des fois!
On a envie de dire des choses, de gueuler des choses qui sont vraies. De les expulser sans prendre le temps de réfléchir aux conséquences. Plein de mondes le font, pourquoi pas moi ?
Je cherche et je ne sais pas. Je cherche et je ne comprends pas.
Je veux crier, gueuler, et en même temps je suis d'un calme olympien.
Je m'amuse, je suis bien, mais me censure.
Fred m'a demandé hier si j'étais heureux et je lui ai répondu oui.
Il me reste des choses à régler sur moi et en dehors de moi. Sur moi, et bien je les règles une à une.
En dehors de moi... Et bien chaque chose en son temps. J'ai fléchi hier alors que j'aurais du resté droit et debout.
J'ai écrit quelque chose qui me paraissait intelligent à ce moment là, mais qui ne fait que montrer ma faiblesse.
Je ne suis plus faible. Je ne veux plus être faible. Je veux être heureux et vivant. C'est simple ... tellement simple que ça en est peut-être trop simple.
Je rencontre des gens fascinants ces temps ci. Des gens dont je n'aurais jamais soupçonner l'existence. Des gens qui sont vrais, intense et qui expriment le fond de leur pensée.
Oui ces discussions sont épeurantes, bien sur. Mais en même temps cette intensité fait du bien. Cette rage à exprimer sa douleur et son bonheur nous fait grandir.
J'accepte ma peur, la déguste pour mieux la digérer et avancer dans la vie.
Me reste qu'à accepter celles que je provoque maintenant. C'est moins évident, mais c'est tellement plus facile quand pour la première fois de sa vie tu acceptes toutes les strates de ton existence.
Les peurs des autres ? Et bien ça, je ne peux rien y faire. J'ai compris que je n'en avais pas le contrôle...
ENFIN !
Je cherche et je ne sais pas. Je cherche et je ne comprends pas.
Je veux crier, gueuler, et en même temps je suis d'un calme olympien.
Je m'amuse, je suis bien, mais me censure.
Fred m'a demandé hier si j'étais heureux et je lui ai répondu oui.
Il me reste des choses à régler sur moi et en dehors de moi. Sur moi, et bien je les règles une à une.
En dehors de moi... Et bien chaque chose en son temps. J'ai fléchi hier alors que j'aurais du resté droit et debout.
J'ai écrit quelque chose qui me paraissait intelligent à ce moment là, mais qui ne fait que montrer ma faiblesse.
Je ne suis plus faible. Je ne veux plus être faible. Je veux être heureux et vivant. C'est simple ... tellement simple que ça en est peut-être trop simple.
Je rencontre des gens fascinants ces temps ci. Des gens dont je n'aurais jamais soupçonner l'existence. Des gens qui sont vrais, intense et qui expriment le fond de leur pensée.
Oui ces discussions sont épeurantes, bien sur. Mais en même temps cette intensité fait du bien. Cette rage à exprimer sa douleur et son bonheur nous fait grandir.
J'accepte ma peur, la déguste pour mieux la digérer et avancer dans la vie.
Me reste qu'à accepter celles que je provoque maintenant. C'est moins évident, mais c'est tellement plus facile quand pour la première fois de sa vie tu acceptes toutes les strates de ton existence.
Les peurs des autres ? Et bien ça, je ne peux rien y faire. J'ai compris que je n'en avais pas le contrôle...
ENFIN !
les sentiments, les émotions, se sentir petit devant l'univers, s'émerveiller devant rien, pleurer et surtout, AIMER, ce ne sont pas des faiblesses, mais bien des qualités et des forces que tu as, que bien des gens n'assumeront jamais de leur vie, et moi je t'aime ainsi !
Publié par Anonyme | 11:56 p.m.